L’Hiver maudit (Arghentur, tome 1)

À PROPOS DE L'AUTEUR
Sigrid Renaud

Auteur de L’Hiver maudit (Arghentur, tome 1)

Née à Caen (France) le 6 novembre 1978 Diplômée en BD-Illustration à l’Académie Royale des Beaux-Arts de Tournai Je suis née en Normandie, et j’ai grandi dans une maison remplie de livres, où se cachaient des trolls et des Vikings, où les drapeaux danois flottaient sur les sapins de Noël et les gâteaux d'anniversaire. Vingt ans plus tard, je me suis installée en Belgique pour étudier dans une école supérieure… et je ne suis plus jamais repartie ! J’écris surtout de la fantasy, et mes histoires sont autant de fenêtres pour s’évader dans des pays qui n’existent pas. Je travaille mes phrases comme des partitions de musique, qu’il faut réécrire jusqu’à ce que ça sonne juste à mes oreilles. Et tout commence souvent par « Et si…? »
NOS EXPERTS EN PARLENT...
ricochet

Un soir de fête hivernale dans un village balne, la jeune Liléia, son oncle et le magicien Celwyn échappent de peu à une attaque de Maître d’Arghentur et de ses guerriers. Ils cherchent alors à rejoindre un mystérieux sage qui pourrait les aider à délivrer les autres villageois du Maître. Un de ces prisonniers, Tomas, cousin de Liléia, parvient à s’enfuir d’Argenthur et rejoint dans…


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Dans le grenier de sa grand-mère, Nelson, un jeune écolier fort raisonnable, trouve de vieux objets abandonnés et entend soudain des voix dans sa tête. Ce sont celles de ses ancêtres paternels, les de Trieu, enfermés dans les objets à la suite d’une malédiction datant du 15ème siècle, infligée par un seigneur écossais, Roy Mac Gregor. Nelson passe beaucoup de temps à dialoguer avec sa famille et se surprend à parler avec un râteau, une assiette en faïence, un sabre ou un poêle à bois. Il garde pour lui ce secret mais, à la mort de sa grand-mère, ses parents vendent la maison et les aïeux ! Ceux-ci se retrouvent chez un antiquaire véreux de Bruxelles, qui les disperse un par un. Nelson se sent dépassé par l’énormité de la tâche à accomplir pour retrouver sa famille, il ne peut s’en ouvrir à son père, dont l’extrême émotivité l’empêche quasiment de vivre. Il fait alors la connaissance de Victoria, une vieille dame pleine d’énergie et de ressources. Ensemble, ils vont explorer la ville, à la recherche de vases, d’assiettes et autres vieilleries afin de lever la malédiction qui pèse sur la famille et de faire en sorte que les ancêtres de Nelson puissent enfin reposer en paix. Après Bjorn le Morphir, roman de fantasy humoristique récemment adapté en bande dessinée, Thomas Lavachery publie son deuxième roman, qu’il a écrit pendant deux ans avec une classe de CM1/CM2 d’une école de Bruxelles. Le résultat est amusant, l’écriture est enlevée, les dialogues savoureux et l’idée de départ originale. A côté de la quête opiniâtre de Nelson, il y a aussi l’évocation de sa vie quotidienne et de ses relations avec ses parents, notamment avec ce père si fragile, que Nelson veut préserver à tout prix. Ce garçon est fort malgré son âge et sa quête donne de la force à ceux qu’il aime. C’est aussi ce côté-là de l’histoire…