Appolina, vieille aristocrate décatie, fait rejouer à son domestique Zeb la scène de la visite de son grand fils, Konstantin Konstantinovitch, partout pour toujours. Dans le vertigineux jeu de miroirs qui s’invente, le vieux couple ébauche un pas de deux, clownesque et métaphysique où les cris des trains déchirant le lointain interrogent la présence et l’absence, l’amour absolu des mères, l’espérance logée au cœur de la tragédie humaine.
Auteur de Les trains dans la plaine
Lorsque, la veille de Noël, Eléonore pénètre dans un salon de coiffure sans avoir pris rendez-vous, elle est loin de se douter de ce qui l'attend. Car Nuwu, coiffeuse d'âmes de son état, a bien une réservation à son nom. Peu à peu, elle éprouve le sentiment étrange que rien ne se déroule comme elle l'avait imaginé. Un peu comme si le temps s'était arrêté. Alors, quand Claire débarque et s'étonne, elle, de ne pas figurer sur le carnet de rendez-vous, la confusion s'installe : que peuvent bien partager en commun ces deux femmes ? Une comédie décoiffante coécrite par deux auteurs que la crise du covid-19 a fait se rencontrer.Lorsque, la veille de Noël, Eléonore pénètre dans un salon de coiffure sans avoir pris rendez-vous, elle est loin de se douter de ce qui l'attend. Car Nuwu, coiffeuse d'âmes de son état, a bien une réservation à son nom. Peu à peu, elle éprouve le sentiment étrange que rien ne se déroule comme elle l'avait imaginé. Un peu comme si le temps s'était arrêté. Alors, quand Claire débarque et s'étonne, elle, de ne pas figurer sur le carnet de rendez-vous, la confusion s'installe : que peuvent bien partager en commun ces deux femmes ? Une comédie décoiffante…