Les suites vénitiennes (Intégrale 3)



À PROPOS DE L'AUTEUR
Eric Warnauts
Auteur de Les suites vénitiennes (Intégrale 3)
Eric Warnauts et Guy Raives sont associés depuis vingt-cinq ans. Ensemble, ils ont réalisé une trentaine d’albums suivant une méthode de travail peu commune dans l’univers de la bande dessinée ; Warnauts se réservant les mots, Raives les couleurs, le reste étant réalisé « à quatre mains ». Depuis leurs débuts, ils n’ont eu de cesse de faire voyager le lecteur autour du monde ; du Congo belge à l’Amérique d’Obama, de l’Allemagne nazie à la Venise libertine du 18e siècle… Ils aiment inscrire leurs récits dans des lieux, acteurs à part entière, et des époques dont ils cherchent à restituer l’atmosphère. Se nourrissant de lectures communes, de rencontres et de voyages, ils abordent à chaque fois des sujets liés à la nature humaine, à l’autre, à la différence, à l’amour ; créant une œuvre tout à la fois sensible et engagée. Par ailleurs, Raives réalise des livres pour enfants aux éditions Mijade et met en couleurs les albums de divers auteurs parmis lesquels, Jean-claude Servais, Marc-Renier ou Charles Masson tandis que Warnauts enseigne la bande dessinée à l’ESA Saint Luc de Liège.
Raives (Guy Servais)
Illustrateur de Les suites vénitiennes (Intégrale 3)
1959 : Naissance, le 25 juillet, de Guy Servais (anagramme de Raives) à Liège, Belgique. 1985 : Rencontre. Warnauts écrit à Raives le scénario des deux volumes de Paris-Perdu. Auparavant, il a suivi les cours de l'Institut St Luc à Liège, dessiné Passion Vynile pour Futuropolis, Take the Moon et Moonlight Serenades pour les éditions du Miroir. 1987 : Les deux hommes deviennent inséparables. Warn's et Raives créent le personnage de Lou Cale, en travaillant l'un comme l'autre au dessin et au scénario. La même année, ils commencent à publier dans (À Suivre) une série d'histoires plus adultes, dessinées elles aussi à quatre mains. 1996 : Première des Suites Vénitiennes, Esquisses. Par ailleurs, Warnauts écrit, seul, pour son frère Marc-Rénier, le scénario de Ombres et désirs. Texte © Humanoïdes Associés

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Les suites vénitiennes (Intégrale 3)"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9208 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Étoile : Le petit cirque

Dans un cirque, à la fin de la représentation, Zingaro le clown passe entre les bancs récupérer les objets perdus ou oubliés et découvre un nouveau-né dans une caisse à savon. Toute l'équipe adopte le petit garçon et le baptise Etoile.…

Klimt

Vienne, 1907. Le peintre Gustav Klimt rend visite aux époux Bloch-Bauer. Ferdinand demande alors à Gustav de réaliser le portrait de sa femme, Adèle ; requête entraînant un flashback. Six ans auparavant, alors que Klimt essuyait des critiques acerbes au sujet de son œuvre La Médecine , il a rencontré ce couple, admirateur de son génie et dont la femme l’a prié de lui ouvrir les portes de son atelier. Au même moment, l’artiste recevait en rêve l’inspiration pour son prochain tableau. C’est par ce prisme que l’on entre dans l’univers de l’artiste : son atelier, ses modèles, sa mère, sa compagne, Émilie, mais aussi ses rêves, ses angoisses, ses sources d’inspiration en somme. L’histoire narrée en bande dessinée par Cornette et Marc-Renier est une tranche de vie, prétexte à l’évocation du peintre, de son style, de son époque et de l’avant-gardisme dont il y faisait preuve. L’idée est en effet plus de mettre en avant ses particularités que de réaliser sa biographie. Le récit est assez simple et aurait peu d’intérêt sans l’aspect « inspiré de faits réels », mais n’en est pas moins cohérent et bien rythmé.Les dessins sont soigneusement détaillés. Le rendu est classique, avec un crayonné assez fort accentuant les sujets principaux. Les travaux de Klimt évoqués sont réinterprétés plutôt que cités et le résultat est réussi et efficace : le redesign des œuvres permet une intégration fluide dans les cases tout en invitant à les découvrir sous un angle neuf.Le récit principal est suivi d’un court cahier didactique sur Gustav Klimt. Il complète la bande dessinée en développant quelques sujets qu’elle évoque. On y voit notamment des reproductions des œuvres évoquées dans l’album. Ainsi, le lecteur a à portée de main de quoi satisfaire sa curiosité, titillée par l’histoire racontée en images et phylactères.La bande dessinée Klimt est une introduction sympathique à l’œuvre de l’artiste. Les connaisseurs n’apprendront probablement pas grand-chose, là où les néophytes apprécieront l’accessibilité du propos et les informations proposées en fin d’ouvrage. Les visuels soignés plairont aux amateurs de bande dessinée traditionnelle, alors que l’histoire…

Le bon père frédéric : messager de dieu de la Flandre au Québec

La vie de Frédéric Janssoone, franciscain ordonné prêtre en 1870, missionnaire et prédicateur, béatifié…