Les lèvres et la soif : élégies






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Le Carnet et les Instants

Avec une quarantaine de recueils publiés, Yves Namur n’est plus ni un novice, ni un carabin. D’autant moins, puisque le poète se double d’un médecin, profession qu’il exerce depuis qu’il a prêté le serment d’Hippocrate en 1976. Cette double appartenance d’écrivain-médecin qui n’est pas rare dans l’histoire de la littérature, le relie, de manière imperceptible, à cette lignée d’auteurs qui ont en commun de partager une écriture où se lient rigueur et abnégation. L’œuvre d’Yves Namur, récompensée par de nombreux prix, est de cette trempe-là. Avec ce nouveau recueil, Les lèvres et la soif, le poète poursuit en quelque sorte sa conversation avec l’acte poétique dont on trouve l’amorce dans La tristesse du figuier, paru chez le même…


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