1962. L’aube des golden sixties, une décennie charnière, sans monstre ni smartphone, avec une jeunesse à l’étroit dans le carcan des conventions. Les filles de seize ans sortent du bois, elles sont baby-sitters, monitrices, elles dansent, flirtent, testent, découvrent. Jeanne n’a pas peur du loup, aucune incitation à être féministe. Bruxelles, Koksijde, Ostende, Paris, elle dévore la liberté, côtoie les hommes avec impudence, dénonce le faux angélisme des adolescentes en revendiquant la possibilité de dire non. Et découvre l’amour dans un monde où la pilule est encore à venir.
L’oisiveté estivale, c’est bien connu, est propice aux aventures buissonnières. Jeanne met à profit ses semaines de vacances pour prendre le large et surtout quitter la cellule familiale où elle est tenue recluse pour échapper aux dangers du monde. Dans ce roman, dont elle est la narratrice, elle consigne ses souvenirs étalés sur plusieurs années dans le courant des sixties. Nous sommes en 1962, elle a fêté ses 16 ans. Elle a trouvé le subterfuge d’un contrat de fille au pair pour séjourner à la côte où elle s’occupe d’un jeune garçon.La mère de l’enfant, qui gagne du temps libre dans cet arrangement, la prend pour confidente et lui laisse carte blanche pour les moments de détente accordés. C’est l’occasion pour elle de découvrir…
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