Les enquêtes de Musa et Rico


RÉSUMÉ

Musa & Rico enquêtent sur la vérité et examinent les préjugés : leur apparition et comment ils nous trompent




Notre Critique

Pour nos petits détectives en herbe, Fleur Daugey propose quatre histoires courtes, remplies d’humour, mettant en scène des animaux dont Musa, la musaraigne et Rico, le renard sont les personnages principaux. Réalisées sous forme de BD, ces quatre enquêtes policières plongent les enfants au cœur d’énigmes à résoudre : la...


À PROPOS DES AUTEURS
Emilie Vanvolsem
Illustratrice de Les enquêtes de Musa et Rico
Emilie Vanvolsem est née en Belgique. Après plusieurs déménagements de la campagne à la capitale, des tribulations dans diverses écoles, elle rentre enfin dans une école d’art… C’est le coup de foudre pour le dessin ! Elle intègre ensuite tout naturellement à l’Académie des Beaux Arts de Bruxelles et en ressort tout aussi gaiement pour passer son agrégation. Depuis 2001, elle exerce son art dans la presse jeunesse et a publié plusieurs albums jeunesse.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Les enquêtes de Musa et Rico"
stdClass Object ( [audiences] => Array ( [0] => 16280 ) [domains] => Array ( [0] => 9930 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Une seconde, papillon !

Deux petits livres de poésie pour la jeunesse viennent de paraitre aux éditions Rue du monde. Le premier, Une seconde, papillon ! , est écrit à quatre mains par deux poètes de la même famille, Pierre Coran et son fils Carl Norac . C’est un événement, puisqu’il s’agit pour eux d’une première expérience collective d’écriture partagée. Habités par une inspiration commune, ils captent la poésie dans chaque instant de la vie véritable et essentielle. Puissamment positifs, les poèmes évoquent le temps qui passe, le hasard, la réalité, l’enfance, le rêve. Au fil des pages, s’écrit un dialogue unique et poétique entre un père et son fils, une transmission de ce qu’il faut regarder intensément et rêveusement pour appréhender le visible : Mon père m’apprit que le mot « futur » n’est pas une simple annonce. Pas à pas, il commence avant qu’on le prononce. Les secondes s’écoulent, les rêvent s’enfuient après la nuit, tout est une question de toucher au plus près ce qui a déjà disparu, de saisir la magie des moments et de les étirer, grâce aux pouvoirs de la poésie, au-delà de leur simple durée : Est-il saugrenu, incongru, impromptu, superflu de tenter, sans relâche, de retrouver pour nous, rien que pour nous, où qu’il se cache, le temps perdu ? Traversant des pays de légendes, leur poésie ralentit les gens pressés, immobilise les aiguilles des horloges. Illustré par six images très colorées et vivaces de Cécile Gambini, le recueil est habité par des hiboux, des oiseaux rouges et des papillons roulant à vélo dans un ciel de constellations et de voies lactées. Ce qui vole est suspendu dans les filets de leur langage poétique. On lit ces poèmes comme des petits talismans pour accompagner les enfants dans la nuit ou pour bien commencer la journée, «  pour qu’elle chante encore  ». Cette forme à quatre mains rappelle que «  La poésie naît toujours d’un croisement de regards, d’un détail posé différemment dans un paysage ou d’une pensée aussi fugitive et concrète que le pas de la danseuse. On nommera comme on veut cet instant où, à son tour, l’instant vous traverse  » ( Carl Norac, La poésie pour adultes et enfants : le grand écart? , Midis de la poésie éditions, 2020 ). L’alliage de ces deux paroles fait que rien ne s’achève, tout se prolonge comme les trois points de suspension que l’on trace à la fin de nos phrases pour profiter plus longuement de la vie qui «  est un château de neige  ».Le second livre, Poèmes cueillis dans la forêt de vos yeux  est une proposition de la poétesse Françoise Lison-Leroy qui a appris à lire dans les yeux des enfants. S’en suit une quarantaine de courts poèmes avec comme titre le prénom d’un enfant. Tels des haïkus, les textes sont de brefs portraits révélant une palette large d’émotions : la colère, la peur, la perte d’un être cher, le secret, le besoin de protection, la disparition. Les yeux, miroirs de l’âme, disent ce qui est généralement silencié. Le talent de Françoise Lison-Leroy est d’écrire cet indicible, de le traduire en courts poèmes car «  certains mots savent se faire pommade  ». La nature est le décor de ces mondes oculaires. Y vibrent un ruisseau, des champs, deux éclairs bleus, des abeilles, des libellules, des chevaux, des hérons cendrés et des lérots. ToutEs co-habitent et invitent les Inès, Joël, Valère, Ellen à trouver leur place. Chaque écrit est une possible rencontre, un moment de joie ou de tristesse, une manière lumineuse de s’évader. Par les mots, l’espoir est de mise pour «  dompter  » le monde qui nous entoure et ressentir les cœurs des enfants qui battent fort.Léo   Chemin…

Mamie Manga

aNNe HERBAUTS , Mamie Manga , Pastel, 2023, 80 p., 10 € ,  ISBN : 9782211331838Aya le tigre accompagne Mamie au…

Louis des sangliers

Louis est un homme à part : il vit dans la forêt, auprès des sangliers. Ce sont ses vrais seuls amis, libres et sauvages, comme lui. Un jour pourtant, un dramatique accident…