Les diamants du diable


RÉSUMÉ

Sud-Kasaï 1965 ! L’ex-Empire des Baluba sort des chimères et panse ses plaies. C’est un petit peuple, fier et attachant, qui cherche péniblement sa voie. C’est le Général Mobutu, chef de l’Armée puis Président; c’est Joseph Ngalula, Gouverneur de la province…Mais c’est surtout le diamant ! Le chaos des premiers temps de l’indépendance, la pauvreté et la cupidité de certains poussent tout un peuple à piller sans vergogne les fabuleuses richesses…

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À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean-Claude MARLAIR
Auteur de Les diamants du diable
Jean-Claude Marlair est né à Beauraing, le 29 juin 1943.Il quitte l'Institut des Frères des Écoles Chrétiennes en 1959 pour terminer ses humanités à l'École Centrale de Saint-Denis-Westrem.Nommé sous-lieutenant des cadres d'active en 1964, il fait ses premières armes au 2 Ch à Charleroi.En juin 1965, il arrive au Sud-Kasaï où le Commandant Hubert Bondroit dirige une équipe belge dont la mission est d'apporter son aide à l'Armée Nationale Congolaise chargée de réprimer l'exploitation et la fraude illicites du diamant dans la région de Mouji-Mayi. Le jeune officier y commandera le Détachement Judiciaire début 1966. Pendant dix-sept mois, il va donc vivre le problème épineux de l'intérieur, ayant l'occasion de l'analyser sous toutes ses formes.En 1967, il prend du service au Corps de Justice Militaire à Kamina. Rentré au pays, il sert ensuite au 3 Ch A à Vielsalm et à l'École d'Infanterie à Arlon.L'auteur rejoint le Zaïre en 1973 où il occupera des fonctions d'instructeur au Centre Supérieur Militaire à Kinshasa et à l'École de Formation d'Officiers à Kananga. Pendant cette période, le Commandant Marlair s'intéresse de près à l'évaluation de la situation au Kasaü-Oriental. L'occasion lui est également offerte de vivre sur place d'une part les activités multiples de la communauté blanche au Zaïre. Depuis son retour d'Afrique, il est affecté aux Chasseurs Ardennais à Vielsalm. La campagne de presse qui se déchaîne en 1979 à l'annonce des massacres d'enfants au Sud-Kasaï le fait sortir de son mutisme. Il publie un article sur le sujet dans une revue belge.Au moment où l'affaire Bokassa défrayait la chronique, le parallèle était facile. Il fut immédiat. Et nombreux sont ceux qui emboîtèrent allégrement le pas à une vaste campagne de dénigrement de l'État zaïrois. Ce qui a le plus frappé le Commandant Marlair, c'est le manque total de connaissances des réalités du pays de la plupart de ceux qui se sont fait le porte-parole d'accusations honteuses. C'est pourquoi il se décide à écrire Les Diamants du Diable. Son expérience du Sud-Kasaï et ses deux séjours au Zaïre lui inspirent ce livre dont le sujet apparaît d'une brûlante actualité dans une société qui s'interroge désormais sur l'opportunité de l'aide accordée à notre ancienne colonie.Aujourd'hui, officier à la retraite.

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