Les démons d'Alexia (tome 4) : Le syndrome de Salem

À PROPOS DES AUTEURS
Vincent Dugomier

Auteur de Les démons d'Alexia (tome 4) : Le syndrome de Salem

De son vrai nom, Vincent Lodewick, est né à Uccle le 20 août 1964, est un auteur belge de bandes dessinées.
Benoit Ers

Illustrateur de Les démons d'Alexia (tome 4) : Le syndrome de Salem

Déjà tout petit, Benoît Ers dessinait dans ses cahiers d’écolier. À 17 ans, il remporte le concours scolaire de BD à Angoulême. Après sa formation à l’école des Beaux-Arts d’Épinal, il reçoit une proposition de Marsu Productions, chez qui il travaille pendant six mois, ce qui lui permet de s’installer à Liège comme illustrateur indépendant, et de commencer à dessiner pour le magazine Spirou. Un début de carrière plutôt facile et prometteur pour ce jeune auteur, qui rencontre très vite son complice avec qui il va collaborer pendant des années, Vincent Dugomier. À deux, ils créent Muriel et Boulon au Lombard, puis s’engagent sur la piste des Démons d’Alexia (Dupuis) ou encore Hell School (Le Lombard). Une belle collaboration, qui fait dire à Benoît Ers : « J’ai fait le scénariste qu’il est, et il a fait le dessinateur que je suis. » et se confirme en 2015 avec Les Enfants de la Résistance.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Les démons d'Alexia (tome 4) : Le syndrome de Salem"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9208 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

CHAMPS DE BATAILLE

Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…

Ma vie est un best-seller

Corinne Mayère est une salariée pas très motivée d'Edéf qui décide d'écrire…