Les damnés de l’Éden


RÉSUMÉ

Journaliste réputé et apprécié, Nick Adams écrit dans un grand quotidien américain. À New York où il vit avec sa femme et ses deux filles, il mène une existence apparemment heureuse et sans histoires. Pourtant – désenchantement professionnel, lassitude conjugale, crise de la quarantaine? – Nick souffre d’une sorte de malaise diffus dont il perçoit mal l’origine. Un dimanche matin, la photo d’une inconnue, morte deux jours auparavant dans des circonstances mystérieuses, fait basculer…



À PROPOS DE L'AUTEUR
Paul Couturiau
Auteur de Les damnés de l’Éden
Si on en croit l’état-civil, je suis né le 27 juillet 1952, à Bruxelles. Une chose est sûre, mes racines plongent en terre de Breughelland… n’en déplaise aux imbéciles qui veulent la peau de la Belgique. J’avais douze ans quand ma grand-mère m’a dit: «Toi, tu seras journaliste». Avec l’aplomb de cet âge insolent, j’ai rétorqué: «Non, je serai écrivain!». Ça m’en a pris du temps! Faut dire que mes parents me rêvaient fonctionnaire. Pour les contrarier, j’ai étudié le marketing et la publicité avant de tâter de la banque pendant dix interminables années d’ennui. Pour survivre, j’ai créé une troupe de théâtre, qui a vécu des heures heureuses à ‘L’Île Saint-Louis’, petit théâtre – hélas défunt – de la rue des Éperonniers; j’ai aussi créé un magazine littéraire, Magie Rouge, et j’ai écrit, écrit, écrit… Enfin, l’appel du large est devenu insupportable. Je me suis embarqué pour Paris sur un vieux rafiot qui m’a fait échouer sur le rivage d’un éditeur, où j’ai trouvé à m’employer comme traducteur et conseiller littéraire. C’était en 1981, l’année de ma vraie naissance – un moyen efficace pour rester jeune, non? Mon premier roman est paru en 1992… il a remporté le Grand Prix de Littérature Policière. Depuis, je continue à écrire. Aujourd’hui, après des années à avoir joué traducteur, conseiller littéraire, directeur de collection, directeur d’édition, je ne fais même que ça… écrire. Pourquoi? Parce que la réalité m’ennuie. Alors, je me réfugie dans l’imaginaire. Là, je me sens bien. Je suis chez moi. Avec ma famille: mes personnages et ceux des romans que j’ai aimés.

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