Au début des années 1960, Andreï Voronov quitte sa Pologne natale avec son père et atterrit dans un petit quartier de province appelé le Vhan, refuge pour les « miséreux » provenant de différents pays. Traité de « pouilleux » et de « pestiféré » par les enfants de son âge, Andreï ne s’épanouit pas à l’école. Son père décide alors de le former aux différents métiers de la construction. Il entre sur son premier chantier à qinze ans et bénéficie rapidement d’une excellente réputation. C’est qu’il travaille bien et se contente d’un maigre salaire.Lorsqu’un orage détruit l’église du village, une assemblée est organisée avec le bourgmestre, le curé et les habitants pour financer les travaux…
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