Dans sa jeunesse, Simon Leys passa deux ans dans une cahute de Hong Kong en compagnie de trois amis, une période bénie où « l’étude et la vie ne formaient plus qu’une seule et même entreprise ». C’est en souvenir de ce gîte régi par l’échange et l’émulation, surnommé «Le Studio de l’inutilité», qu’il a baptisé ce recueil consacré à ses domaines de prédilection: la littérature, la Chine et la mer. Il y éclaire la « belgitude » d’Henri Michaux, dépeint la personnalité de George Orwell,…
Poète, romancier, critique, Hubert Juin n'appartient à aucune école.Son chant est ample, de haute lignée son langage. Poèmes à…