Édith Henry, d’une écriture sensuelle, revisite quatre figures féminines mythiques : les grecques Pénélope, tout à la fois victime et fidèle à son époux Ulysse, et Circé, puissante magicienne, elle aussi victime, la moyenâgeuse fée bâtisseuse, Mélusine, mi-femme, mi-serpente, et la moderne amazone, Xéna.
Quatre solitudes.
Je respire, j'invente, j'écoute les mots, les miens, ceux de tous et ceux de personne. Rien n'est fixé, juste une page où triomphe l'espace.
La poésie est une possibilité, un rythme, une musique, une porosité comme l'était la petite fille aux vers de Pouchkine, Mandelstam, Essenine et de la divine Tsvétaïeva.
L'ailleurs dans son impermanence et sa subtilité!
Faire le plein et faire le vide, laisser émerger, passer sous le paravent, devenir pulpe et chair, tutoyer le monde et puis s'effacer derrière le verbe qui danse sur l'éphémère de ce qu'il représente.
Ephémère éphéméride, des événements d'une vie l'effeuillage, d'un calendrier une aquarelle qui se dessine d'une traite et d'une seule vague cyclique et intuitive.
J'aime l'odeur douce-amère de mes jardins après la pluie.
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