Le petit commencement

À PROPOS DE L'AUTEUR
Pol Bury

Auteur de Le petit commencement

Après des études à l’académie des Beaux-Arts de Mons, Pol Bury découvre le surréalisme et, âgé des seize ans, participe aux activités du groupe Rupture avec Achille Chavée et Fernand Dumont.  Sa peinture est influencée par l’œuvre de René Magritte qu’il fréquente alors. Il participe à la revue L’Invention collective lancée en 1940 et, après la guerre, est présent à l’exposition « Surréalisme » de la galerie des éditions La Boétie. Il s’éloigne picturalement du surréalisme vers 1947 pour privilégier l’abstraction, avant de participer au mouvement Cobra puis au groupe Art abstrait fondé par Jo Delahaut. Il abandonne la peinture en 1953 pour les constructions mobiles, sculptures cinétiques qui détermineront toute son œuvre plastique. En 1953, il fonde avec André Balthazar l’Académie de Montbliart où sera publiée des 1957 la revue Daily-Bûl. Il s’établit dès 1961 à Paris. Par ses écrits, ses collages, ses cinétisations et ses éditions, il est toutefois resté proche de l’esprit du surréalisme. Xavier Canonne   Manoeuvre qualifié qui fut hautement apprécié en son temps pour sa connaissance de la brouette dont il n'ignorait pas les moindres secrets. C'est à ce titre qu'il fut convié à la cour d'Albert 1er afin de donner aux enfants royaux les rudiments de son savoir. Un jour, le poète Maeterlinck qui traversait à bicyclette, et comme un fou, la cour du château de Laeken le renversa sur le pavé gras. Il se releva contusionné. A l'heure actuelle, il ne conserve plus aucune séquelle de ce malheureux accident, mais il publie des poésies d'avant-garde. Ernest Pirotte Extrait de : Petit Panthéon national et illustré des auteurs Daily-Bul, n°10, mai 1964

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Le petit commencement"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Depuis ce jour

Depuis ce jour, j'ai été adoptée par les familles de Papa et Maman. Pourtant, je suis heureuse. Depuis que ses parents sont décédés, Colette, sept ans, habite chez Tante Jane et Oncle Jean, qui la considèrent comme leur quatrième fille. Le jeudi, elle rend visite à sa soeur, qui réside chez Tante Antoinette, et, la fin de semaine, les deux fillettes retrouvent leur frère chez leurs grands-parents. Malgré quelques vagues de nostalgie et les visites au cimetière, elle vit heureuse en rêvant aux enfants qu'elle-même aura un jour. Un album abordant avec infiniment de sérénité et de simplicité la question du deuil des parents et de l'adoption par la famille. Des croquis rehaussés de lavis aux teintes chaudes ajoutent à la douceur…

L'Ardenne de Maringer

Omer Marchal ne se lassait jamais de raconter l'Ardenne. La rencontre de sa plume avec le pinceau…