Le maréchal et les confitures


Décidément, on n’en finit pas de commémorer les guerres. Après 14 et 40, voici venu le tour de Waterloo.
Que de sérieux, que de célébrations ! Heureusement, il reste la petite histoire, qui corrige un peu la grande, et où l’humour a encore droit de cité.
Ainsi, tenez, Blücher, le fameux Blücher… Vous ne voyez pas ? Cherchez bien, chez Victor Hugo: Soudain, joyeux, il dit: Grouchy! C’était Blücher!

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J’ai trouvé le récit qui suit chez Carlo Bronne, qui l’a intitulé La grande peur du maréchal Blücher, dans son beau livre Hôtel de l’Aigle noire. Cet hôtel, situé en Féronstrée, à Liège, fut tenu en dernier lieu par son trisaïeul. Parmi ses alliés, le roi de Saxe fut le dernier à lâcher Napoléon : ses soldats tournèrent casaque à Leipzig, en 1813, et décidèrent ainsi de l’issue de la journée. Mais les Alliés ne lui pardonnèrent pas de s’y être décidé si tard, la Prusse mit la main sur une partie de ses Etats, le roi fut…

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