Le kobzar de l'exil (T. 1)

RÉSUMÉ

Selon l’auteur : « Une espèce de Divine Comédie Humaine d’après Dante et Balzac, écrite en 1059 sonnets répartis selon les saisons de la vie, les âges du monde et les cercles de l’éternité ».

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À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean KOBS

Auteur de Le kobzar de l'exil (T. 1)

Naissance de Jean Kobs, le 12 avril 1912, à Hayange, en Lorraine, de parents belges.Sur le conseil de son grand-oncle maternel, alors vicaire général à Namur, Jean Kobs est mis en pension en Belgique, au Petit Séminaire de Bastogne. De 1923 à 1930, humanités gréco-latines, interrompues par les vacances en Lorraine. Très nombreuses lectures : Hugo, Vigny, Heredia, Loti, Barrès, etc...En 1929, le grand-oncle maternel est sacré évêque à Namur; cet événement renforce la décision de l'adolescent : il sera prêtre. Un an plus tard, il entre en première année de philosophie au Petit Séminaire de Bastogne. En 1932, il est admis en théologie au Grand Séminaire de Namur.Jean Kobs est ordonné prêtre en 1936, à Namur.L'année suivante, il est nommé vicaire à Barvaux-sur-Ourthe où il demeurera six ans. Commence à écrire des poèmes qu'il détruira par la suite.Premières rencontres littéraires à Liège : Robert Vivier, Marcel Thiry...En 1942, Jean Kobs est nommé curé au pays de sa mère, à Dinez-Houffalize, où il restera durant seize ans.En 1949 : publication du premier recueil : Le parfum du silence, remarqué par le critique Y.-G. Le Dantec. Le prêtre-poète achève un travail commencé avant la guerre : la traduction de poèmes de Rilke.1953 : publication de Les roses de la nuit, son second recueil de poèmes. L'ouvrage sera couronné par l'Académie française. Marie Noël lui envoie une lettre enthousiaste. En 1958, Jean Kobs est appelé à exercer son ministère à Dave, près de Namur. Il y restera jusqu'à sa retraite, en 1977.Publication à Paris, en 1973-1974, de son oeuvre monumentale : Le kobzar de l'exil, qui comprend mille cinquante-neuf sonnets selon le nombre d'or cher à Virgile.De 1973 à 1975 : nombreuses distinctions et prix littéraires. Jean Kobs passe les dernières années de sa vie à Wépion-sur-Meuse, dans la villa «Bellalui». Il meurt le 29 août 1981.En 1983, le recueil posthume La mémoire du silence est publié à Namur. Il contient les derniers poèmes écrits par le prêtre-poète (1977-1981). L'Association royale des écrivains de Wallonie décerne, en 1982, le prix spécial «Jean Kobs» à Jean Dumortier pour son recueil Vigiles. Attribution en 1984 du premier Prix triennal de poésie «Jean Kobs» à Jacques Biebuyck, pour son recueil Veiller jusqu'à l'aurore.Marie-Thérèse Boulanger publie, en 1985, L'offrande du Kobzar, un choix de poèmes de Jean Kobs, d'après les indications de l'auteur, suivi de notes bio-bibliographiques; en 1990, Une mémoire d'un val de Meuse (55 poèmes «mosans» extraits de l'oeuvre de l'auteur; en 1991, Une mémoire de Lorraine et d'Alsace (71 poèmes extraits de l'oeuvre de l'auteur).

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