Martine attend une fille. L’autre jour, il m’est venu à l’idée de l’appeler Aurore, joli nom en forme de métaphore. J’écris le soir pour dire le nom d’une petite fille qui porte celui du jour qui se lève.
Patrick, alors seulement futur père d’Aurore, décide de tenir un journal. Il commence juste avant le début de la vie de sa fille et devra se terminer le jour de ses douze ans, au moment où Aurore prendra son envol, pleinement, libre de toute tutelle littéraire.
Voyages, récits, aventures et opinions, mésaventures. Un texte épuré, juste, émouvant, parti d’une totalité de plus de 400 pages pour se concentrer et se réduire à l’essentiel – afin de pouvoir être porté, alors qu’Aurore a aujourd’hui 21 ans, devant le public, sur scène, père et fille, ensemble, deux voix qui se souviennent.
Ce texte est suivi de 3 autres textes courts tournant autour de figures du voisinage de la famille Roegiers.
Auteur de Le journal d'Aurore : récit