Le journal d'Alice (T.2). Lola Falbala

RÉSUMÉ

Cher journal,
Je vais te raconter TOUT ce qui se passe au 42, rue Isidore-Bottine (la maison où je vis avec mes parents et mes deux sœurs) et TOUTES les aventures des CM2 B (ma classe à l’école des Érables). Notre prof d’anglais méritera-t-elle encore son surnom de Cruella ? Et monsieur Gauthier, notre enseignant, sera-t-il toujours 100% cool ?
Commençons par mes retrouvailles avec…

   lire la suite sur   Ricochet
À PROPOS DES AUTEURS
Sylvie Louis

Auteur de Le journal d'Alice (T.2). Lola Falbala

Sylvie Louis a fait des études universitaires en Journalisme et communication. Durant 22 ans, elle a collaboré comme journaliste à divers magazines et journaux. Elle a notamment rédigé près de 400 articles et chroniques pour le magazine Enfants Québec.

Christine Battuz

Illustrateur de Le journal d'Alice (T.2). Lola Falbala


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Le journal d'Alice (T.2). Lola Falbala"
stdClass Object ( [audiences] => Array ( [0] => 16311 ) [domains] => Array ( [0] => 9548 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Opération sauvetage (T.8). Le chant des baleines

Nouveau défi pour les Bionautes : sauver les baleines à bosse ! Les baleines à bosse sont des animaux protégés, pourtant un navire japonais, sous prétexte de les étudier, s’est posté au large de l’Antarctique. Son véritable objectif : les tuer et les vendre en boîtes de conserve ! Le capitaine Watson, un ami du professeur Groscerveau, est déjà en place pour tenter d’arrêter ce massacre et de dénoncer ce scandale. Mais les Bionautes, transformés eux-mêmes en baleines, peuvent lui être d’une grande aide. Voilà pourquoi…

Les quatre saisons de Rose

Lorsque Rascal se met à l’écriture. On connaissait les albums, il faudra désormais aussi compter sur les romans de Rascal. Voici un texte intimiste, sorte de journal ou de souvenirs au parfum d’autrefois. Au fil des saisons, en de courts chapitres le lecteur découvrir la vie quotidienne de Rose, une petite citadine. A chaque saison, elle revient à la campagne, chez ses grands-parents. Ici, comme des petites notes personnelles, elle y contient ses sentiments, ses secrets ou ses premiers amours. On sent le vent, l’odeur des feuilles en automne, la pluie sur les carreaux du train. Car ce texte est tout empli de nostalgie, du temps qui passe et qui, malgré les souvenirs, ne sera jamais retrouvé. On retiendra particulièrement les deux premières saisons : l’été, où Rose prépare, avec sa grand-mère complice, un bel anniversaire à son grand-père (il n’a jamais pris l’avion) ; l’automne avec cette étrange promenade en compagnie de son grand-père et cette photo dans une de ses poches (Rose pense que c’est la sienne). Ces passages sont d’une très belle tendresse. On est moins convaincu par les deux derniers chapitres : l’escapade hivernale durant la nuit, l’épisode du train et les premiers émois amoureux. Il n ‘empêche que ce premier roman reste d’une belle tenue, renforcée par de belles aquarelles couleur sépia de Nathalie Novi (où l’on croise pelle mêle, le facteur de Tati, un regard dans un rétroviseur, une nature morte sur une nappe aux carrés rouges).…