Mademoiselle Coline annonce à sa classe qu’elle est enceinte de triplés et qu’elle s’absentera bientôt pour se reposer. Si Elvis, Savanna et les autres sont heureux pour leur maîtresse, ils sont aussi très inquiets quand ils voient arriver monsieur Dutonert avec son costume sombre et son air sévère.
Désormais, il faut filer droit en classe. Les élèves ont beau chercher à dérider ce nouveau maître, rien à faire, il est toujours aussi strict. Ils prennent alors une grande décision : enquêter sur monsieur Dutonert pour enfin comprendre ce qui le rend si dur. Savanna et Elvis vont alors découvrir le décès de son fils. Il est temps d’enclencher la suite du plan en redonnant le sourire au remplaçant de mademoiselle Coline.
Mademoiselle Coline annonce à sa classe qu’elle est enceinte de triplés, elle sera donc bientôt remplacée. Et si la remplaçante n’était pas aussi gentille et imaginative qu’elle ?
– On retrouve nos élèves préférés dans ce dernier opus de la série de Marie Colot et Florence Weiser.
Autrice de Le jour des premières fois : Notre première fête des gens qu'on aime
Illustratrice de Le jour des premières fois : Notre première fête des gens qu'on aime
Née le 01 juillet 1981 à Corbeil-Essonnes (France)
Graduat en Illustration, Saint Luc, Bruxelles Licence professionnelle en Multimédia, Ecole des Gobelins, Paris
Illustratrice installée en Belgique, je travaille entourée d'un immense jardin peuplé de plantes et d'animaux sauvages, ce qui est plutôt bon pour l'inspiration. Après avoir grandi au Luxembourg, j'ai fait mes études d'illustration à l'ESA Saint-Luc à Bruxelles, puis ai suivi des spécialisations en graphisme et webdesign à l'École des Gobelins et à Estienne, à Paris. Je travaille le plus souvent pour la littérature jeunesse, les domaines culturels et associatifs, ainsi que la presse
Le jour des premières fois : Flocons & Cie
Mademoiselle Coline organise une sortie scolaire en classe de neige au Signal de Botrange, le point culminant de la…
Comptines pour ne pas chuinter
Auteur prolifique, Pierre Coran a publié plus de cent trente titres et dit écrire pour la part d’enfance qui est en chacun de nous. Son parcours d’enseignant dans la pédagogie Freinet l’a conduit à utiliser toutes les ressources de la langue française pour intéresser les enfants, leur ouvrir les portes magiques du vocabulaire et les aider à maîtriser les difficultés de la linguistique. Il nous offre dans cet album un univers plein de fantaisie, peuplé de souris qui toussent, de chats qui jouent du luth et de chèvres voleuses de fromage. Ces douze petits textes tendres et cocasses sont une incitation à jouer avec les mots difficiles à prononcer. Ils constituent de petites incantations rythmées où le son importe plus que le sens, où les S et les CH sont autant de prétexte à rire, à s’interroger aussi bien qu’à enrichir le vocabulaire. La mise en images du complice Pascal Lemaître accompagne à merveille ces petites poésies loufoques où jeux de mots et expressions amusantes abondent. Pas question, bien entendu, de remplacer le travail d’un orthophoniste mais plutôt de dédramatiser ce qui pourrait fournir aux copains de classe une occasion de se moquer. Casterman qui a publié de nombreux albums du tandem Coran/Lemaître (Comptines pour jongler avec les mots et Comptines pour ne pas bredouiller (entre autres), réédite aujourd’hui les Comptines pour ne pas chuinter. Depuis 1989, date de la première parution, ni texte ni illustrations…