Le Fils du Chat : Monsieur Casterman

RÉSUMÉ

Monsieur Casterman est-il vraiment cet homme sombre et fermé qui devrait faire peur au fils du Chat et l’obliger à se tenir tranquille ? Le trait de Geluck et son humour explorent de manière originale et inédite les relations père-fils, au jour le jour.

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À PROPOS DE L'AUTEUR
Philippe Geluck

Auteur de Le Fils du Chat : Monsieur Casterman

Philippe Geluck est né en 1954 à Bruxelles. Comédien de formation, il commence sa carrière sur les planches et parallèlement expose ses dessins à Bruxelles, Londres, Paris ou Milan. En 1978, il entame une collaboration avec la RTBF, chaîne publique belge, d´où naîtront plus de 1500 émissions, tant en télé qu´en radio. Depuis 1996, il participe régulièrement aux émissions de Laurent Ruquier, d´abord sur France Inter, ensuite sur Europe 1 dans 'On va s´gêner!'. En même temps, il collabore à 'Vivement Dimanche Prochain', l´émission de Michel Drucker sur France 2 et sévit aussi dans 'On a tout essayé' de Laurent Ruquier sur cette même chaîne. Ne cessant de dessiner, il crée "Le Chat" pour le quotidien belge Le Soir en 1983. Depuis on peut retrouver ce célèbre matou dans le presse française, suisse, espagnole. Les oeuvres de Philippe Geluck ("Le Chat", "Les encyclopédies universelles", "Le Docteur G") sont publiées chez Casterman où il est également directeur de la collection 'C´est pour offrir'.

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Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…