Quatre jeunes gens vivent dans un état autoritaire, une société où tout est normé, du quotient intellectuel au quotient beauté. Ils n’ont qu’un choix possible : suivre les règles ou se brûler les ailes. Alors que la plupart de leurs concitoyens jouent le jeu de la compétition dans l’espoir de faire partie de l’élite, Mia, Eve, Clément et Raphaël, eux, cherchent simplement un peu de bonheur. Ils mettent le doigt dans un engrenage que plus rien ne peut arrêter.
Auteur de Le diable se moque bien des histoires d’amour
D’un côté, il y a les Supérieurs ; de l’autre, les Inférieurs. Bien entendu, les deux ne se fréquentent pas, ne se mélangent pas, ne se croisent presque pas. Au sein de la première caste existe une hiérarchie se basant sur le Pédigrée des individus, se définissant lui-même par la somme de leurs quotients intellectuel, beauté, professionnel, richesse et avenir. Cette valeur précisément mesurée, qui peut varier selon les aléas de la vie, permet d’unir, sur une base rationnelle et objective, les meilleurs éléments entre eux. Ainsi, lors d’une cérémonie diligentée par des hommes de loi, les pères, ayant préalablement amassé une dot, négocient le mariage de leurs filles, tandis que ces dernières attendent patiemment dans une salle que leur sort soit scellé.
Les filles d’Aphrodite : Le dessous des cartes (tome 3)
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