Quatre jeunes gens vivent dans un état autoritaire, une société où tout est normé, du quotient intellectuel au quotient beauté. Ils n’ont qu’un choix possible : suivre les règles ou se brûler les ailes. Alors que la plupart de leurs concitoyens jouent le jeu de la compétition dans l’espoir de faire partie de l’élite, Mia, Eve, Clément et Raphaël, eux, cherchent simplement un peu de bonheur. Ils mettent le doigt dans un engrenage que plus rien ne peut arrêter.
Auteur de Le diable se moque bien des histoires d’amour
D’un côté, il y a les Supérieurs ; de l’autre, les Inférieurs. Bien entendu, les deux ne se fréquentent pas, ne se mélangent pas, ne se croisent presque pas. Au sein de la première caste existe une hiérarchie se basant sur le Pédigrée des individus, se définissant lui-même par la somme de leurs quotients intellectuel, beauté, professionnel, richesse et avenir. Cette valeur précisément mesurée, qui peut varier selon les aléas de la vie, permet d’unir, sur une base rationnelle et objective, les meilleurs éléments entre eux. Ainsi, lors d’une cérémonie diligentée par des hommes de loi, les pères, ayant préalablement amassé une dot, négocient le mariage de leurs filles, tandis que ces dernières attendent patiemment dans une salle que leur sort soit scellé.
Les filles d’Aphrodite : Pas de fumée sans jeux (tome 2)
New York, au milieu des années 30. Lenni et Mona, deux jeunes filles de 20 ans, dirigent une agence matrimoniale baptisée "les filles d'Aphrodite". Guidées par leur flair, un peu de voyance et surtout par le délire ambiant de ces années-là, elles s'amusent à faire se croiser la vie de leurs clients. Mais les affaires louches, les complots et les meurtres ne tardent pas à faire irruption. Orpheline de naissance, Lenni vient d’apprendre l’identité de sa mère et de se découvrir une soeur jumelle assassinée. Va-t-elle enfin connaître son père ? Et qui est…
Roman pour mains vertes et petit·es écolo-poètes et poétesses Comme tous les matins, à l’heure où le premier train siffle, Monsieur Mots pousse la barrière de son petit jardin. Il se balade de rosiers en buissons, de bourgeons en feuilles, et salue chacun·e d’une caresse. La terre est multicolore, les fleurs prêtes à éclore. À votre tour de pousser la jolie barrière rouge et d'explorer en compagnie de notre jardinier-poète ce lieu singulier où fleurs, plantes et mots prolifèrent en toute liberté… Les lecteurs et lectrices seront sensibles aux jeux de mots, aux métaphores, à la recherche lexicale qui mènent naturellement à l’écriture, au travail ludique de la langue... Cela dit, qu'on ne s'y trompe pas : le texte de Marie Colot est un manifeste humaniste qui développe des thèmes tels que la nécessité en opposition à la contingence ; la consommation et le productivisme ; la biodiversité (racines des plantes et des mots) ; le lexique en raréfaction ; la responsabilité qui découle de la propriété (« Je suis responsable de ma rose », dit Le Petit Prince), la générosité ou encore le partage.Comme tous les matins, à l’heure où le premier train siffle, Monsieur Mots pousse la barrière de son petit jardin. Il se balade de rosiers en buissons, de bourgeons en feuilles, et salue chacun·e d’une caresse. La terre est multicolore, les fleurs prêtes à éclore. À votre tour de pousser la jolie barrière rouge et d'explorer en compagnie de notre jardinier-poète ce lieu singulier où fleurs, plantes et mots prolifèrent en toute liberté…Comme tous les matins, à l’heure où le premier train siffle, Monsieur Mots pousse la barrière de son petit jardin. Il se balade de rosiers en buissons, de bourgeons en feuilles, et salue chacun et chacune d’une caresse. La terre est multicolore, les fleurs prêtes à éclore. Elles se gorgent de lumière tandis que les abeilles se promènent dans un joyeux désordre.…