Le degré zorro de l’écriture


RÉSUMÉ

Devenu un livre de référence, cet ouvrage inclassable paru en 1978 chez Christian Bourgois dans la collection TXT tente de répondre à la question : quelle langue inventer, qui précipite l’effondrement des « modèles » idéologiques et des stéréotypes formels.
La réédition chez Labor a été revue et corrigée par l’auteur. Ce volume comprend également quelques extraits de Divan le terrible.

  lire la suite sur  Bela

À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean-Pierre Verheggen
Auteur de Le degré zorro de l’écriture
Né le 6 juin 1942 à Gembloux (Belgique) d'un père originaire d'Orléans et d'une mère wallonne, Jean-Pierre Verheggen s'est montré très tôt attentif aux langues basses. Son mariage avec l’Italienne Gisèle Fusani l’immergera un peu plus encore dans les langues multiples et plurielles d’où naîtra sa langue le «Vernaculairheggen». Il a été professeur de français, animateur à la RTBF, membre de l'ex-groupe littéraire d’avant-garde internationale TXT (Rennes, Paris, Rome, Berlin, Nice et Bruxelles) et est l'auteur d'une quinzaine d'ouvrages de fiction. Jean-Pierre Verheggen travaille aujourd'hui à Bruxelles, à la Promotion des Lettres Belges de Langue Française où il est chargé de mission spéciale. En 1995, il s'est vu attribuer à Paris, pour l'ensemble de son oeuvre, le Grand Prix de l'Humour Noir. 2 œuvres que je souhaite faire connaître : Valère Novarina, Le Drame de la vie Christian Prigent, Grand-mère Quéquette 3 livres de ma bibliographie : Ridiculum vitae, précédé de, Artaud Rimbur. On n'est pas sérieux quand on a 117 ans (zuteries). Gisella. Découvrez le documentaire original "Jean-Pierre Verheggen : un cas rare" sur le site des archives audiovisuelles de la SONUMA.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Le degré zorro de l’écriture"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Ni pardon, ni talion : la question de l'impunité dans les crimes contre l'humanité

Une analyse critique de la justice en matière de crime contre l'humanité. Selon l'auteur, à la fois nécessaires et insuffisantes, les institutions judiciaires ne peuvent être que le point de départ d'une lutte plus vaste contre la barbarie universelle, fondée sur un consensus sur le droit de l'être humain, une éducation…