Le crépuscule des dieux 1 : L’or maudit


RÉSUMÉ

Sous le pseudonyme de Richard Sorensen
Sur les bords du Rhin, les trois filles du fleuve défient le Nibelung Alberich. Mais celui-ci, prêt à tout, parvient à voler leur or au prix du sacrifice absolu : il maudit l’amour à jamais. Le crépuscule des dieux approche… Alberich a forgé un anneau de pouvoir avec l’or volé, que Wotan, le dieu des dieux, doit absolument se procurer. Il l’a promis aux géants en paiement de la construction de son château, faute de quoi ils garderont prisonnière…


À PROPOS DE L'AUTEUR
Paul Couturiau
Auteur de Le crépuscule des dieux 1 : L’or maudit
Si on en croit l’état-civil, je suis né le 27 juillet 1952, à Bruxelles. Une chose est sûre, mes racines plongent en terre de Breughelland… n’en déplaise aux imbéciles qui veulent la peau de la Belgique. J’avais douze ans quand ma grand-mère m’a dit: «Toi, tu seras journaliste». Avec l’aplomb de cet âge insolent, j’ai rétorqué: «Non, je serai écrivain!». Ça m’en a pris du temps! Faut dire que mes parents me rêvaient fonctionnaire. Pour les contrarier, j’ai étudié le marketing et la publicité avant de tâter de la banque pendant dix interminables années d’ennui. Pour survivre, j’ai créé une troupe de théâtre, qui a vécu des heures heureuses à ‘L’Île Saint-Louis’, petit théâtre – hélas défunt – de la rue des Éperonniers; j’ai aussi créé un magazine littéraire, Magie Rouge, et j’ai écrit, écrit, écrit… Enfin, l’appel du large est devenu insupportable. Je me suis embarqué pour Paris sur un vieux rafiot qui m’a fait échouer sur le rivage d’un éditeur, où j’ai trouvé à m’employer comme traducteur et conseiller littéraire. C’était en 1981, l’année de ma vraie naissance – un moyen efficace pour rester jeune, non? Mon premier roman est paru en 1992… il a remporté le Grand Prix de Littérature Policière. Depuis, je continue à écrire. Aujourd’hui, après des années à avoir joué traducteur, conseiller littéraire, directeur de collection, directeur d’édition, je ne fais même que ça… écrire. Pourquoi? Parce que la réalité m’ennuie. Alors, je me réfugie dans l’imaginaire. Là, je me sens bien. Je suis chez moi. Avec ma famille: mes personnages et ceux des romans que j’ai aimés.

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