Le château du petit prince

À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean-Luc Englebert

Auteur et illustrateur de Le château du petit prince

Jean-Luc Englebert est né en 1968 à Verviers en Belgique. Il suit les cours de l’institut Saint-Luc et après avoir été tenté par la bande dessinée, il devient illustrateur de livres pour enfants. De ses études de BD, il garde l’importance du découpage et du scénario aussi pour les livres pour enfants. Quand il raconte une histoire, il fait d’abord le dessin qui doit tenir seul, le texte étant presque de la décoration. Ses histoires sont tendres et intimistes illustrées par d’amples aquarelles, lumineuses et sobres. Il travaille également pour la presse enfantine. Il vit à Bruxelles et a deux filles. Lauréat d'une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide au projet, 2009, 2014 et 2020 Lauréat d'une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide à la création, 2021
NOS EXPERTS EN PARLENT...
ricochet

Lorsque les enfants grandissent, ils doivent apprendre à s’éloigner de leurs parents, même si cela fait parfois un peu peur. Pour mettre en image cette petite leçon de vie, Jean-Luc Englebert nous conte l’histoire d’un petit prince à qui son père confie la garde d’un château, estimant que son fils est assez grand. L’enfant devra surmonter sa peur des dragons pour se montrer à la…


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Le château du petit prince"
stdClass Object ( [audiences] => Array ( [0] => 16281 ) [domains] => Array ( [0] => 9534 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Mon ami Jim

Jack est un merle mais la mer l'attire depuis toujours. Un jour, il décide de quitter sa forêt. Arrivé au…

Ernest et Célestine au musée

Réédition. C’est toujours avec autant de joie…

Mon gros escargot

Un énorme escargot est entré dans notre maison. Mes parents m'ayant toujours refusé un chiot, je les ai suppliés de le garder. Il était une fois un gros escargot. Gros taille labrador. De fait, le petit garçon qui le trouve dans sa maison plaide auprès de ses parents pour le garder en tant qu’animal domestique. Il s’appellera Francis. Ce sont alors des jeux au jardin (et des plates-bandes avalées), de la salade pour tous en entrée, une chambre occupée au sol (le lit) et au plafond (le pied de l’escargot)… Le lendemain matin, deux très gros escargots arrivent - taille petite voiture -. Ce sont les parents de Francis. Les deux familles se séparent, sans un mot évidemment. Mais les parents du jeune humain ont réfléchi et offrent alors un chien à leur fils… (on notera que ce teckel est plus petit que l’escargot, d’ailleurs). Tout est dans le dessin. Mais tout est dans l’histoire aussi. Rarement la synergie entre texte et image aura aussi bien fonctionné, sur le mode ici d’un absurde captivant. Racontée avec un flegme absolu, l’intrigue surréaliste est accompagnée brillamment par des illustrations en peinture de type elles hyperréalistes, complètement et faussement sérieuses. Seule la toute fin, espèce de pirouette de vocabulaire, semblera un peu faible. A lire dans un éclat de rire intelligent.…