Le Charme et l’épouvante : oscillations


RÉSUMÉ

Notes, aphorismes, extraits d’un journal fournissent un texte méditatif sur la vie et la mort, sur la dualité (invoquée par le titre) qui habite l’homme, sur une tristesse qui ne va pas jusqu’au désespoir.


À PROPOS DE L'AUTEUR
Marcel Moreau
Auteur de Le Charme et l’épouvante : oscillations
Marcel Moreau est un écrivain belge de langue française né en 1933. Il perd son père à l'âge de quinze ans et arrête quelques temps plus tard ses études. Il pratique alors divers métiers pour subvenir à ses besoins. Il entre au journal Le Peuple comme aide comptable, puis, en 1955, devient correcteur au Soir à Bruxelles. Il correspond avec des écrivains comme Mauriac ou Camus et en 1959, il fait une rencontre majeure, celle de Nietzsche, qu’il appellera bientôt son « professeur ». En 1963, il publie son premier roman « Quintes ». Après la parution de celui-ci, il ne cesse d’écrire. Son travail est rythmé par de nombreux voyages : URSS, Inde, Cameroun, Chine, Iran, Népal, Canada, Mexique, États-Unis ,... Il reçoit le Prix Maeterlinck en 1994. Il décède avril en 2020, à Paris.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Le Charme et l’épouvante : oscillations"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9174 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Traité de savoir-vivre à l’usage des jeunes générations

Cet essai parut initialement en 1967. Par l'auteur des Controverses du christianisme.…

Une revue catholique au tournant du siècle : Durendal 1894-1919

À propos du livre (texte de l'Introduction) Lorsqu'on parcourt une histoire de la littérature belge de langue française, le chapitre consacré à cette époque particulièrement florissante, qui va de 1880 à la première guerre mondiale, frappe par l'éclosion soudaine de revues littéraires qui suivirent l'exemple de la Jeune Belgique. Dans la liste de ces revues plus ou moins éphémères, l'attention est attirée par la longévité surprenante de l'une d'elles, Durendal, revue catholique d'art et de littérature . Ce mensuel catholique parut pendant vingt ans, de 1894 à 1914, alors que la Jeune Belgique ne sortit de presse que durant seize années et que la Wallonie disparut au bout de sept ans. Quelle recette a donc permis à Durendal de garder si long-temps ses lecteurs? Et une seconde question vient à l'esprit : à quoi pouvait bien s'intéresser une revue littéraire catholique à un moment où la littérature catholique semble inexistante? Qui a fondé Durendal ? Quels étaient ses objectifs? Autant de questions sur lesquelles bien peu de critiques ou d'historiens littéraires se sont penchés. En faut-il davantage pour désirer examiner avec un peu d'attention cette revue et la sortir de l'oubli, comme ce fut fait autrefois pour la Jeune Belgique et la Wallonie ? C'est ce que nous allons essayer de faire : rechercher les origines de la revue, découvrir son but, analyser la manière dont elle l'atteignit et les raisons qui la maintinrent en vie au-delà de la durée moyenne d'existence des revues littéraires belges. Ce travail ne se veut pas exhaustif: beaucoup d'aspects devront malheureusement rester ignorés, principalement certains problèmes plus particulièrement artistiques qui sortent de nos compétences par leur caractère trop technique. Nous ne proposerons pas non plus, dans chaque chapitre, un relevé détaillé de tous les articles parus dans Durendal et traitant du sujet mais seulement les extraits les plus significatifs. La présentation typographique de la revue, son illustration de plus en plus abondante et le sommaire de chaque numéro ne nous paraissent pas mériter de longs développements. Il suffit de savoir qu'en 1894 chaque numéro comptait vingt pages, tandis que ce nombre…