L'aventure, c'est l'aventure


RÉSUMÉ

Les aventures de 5 truands à la petite semaine.

  lire la suite sur  Bela

À PROPOS DES AUTEURS
Bernard Swysen
Illustrateur de L'aventure, c'est l'aventure

Né à Bruxelles en 1964, Bernard Swysen débute comme scénariste dans deux hebdomadaires belges (Le Soir Illustré et Pourquoi-Pas ?) avec Guy Brasseur au dessin. Il devient l'assistant de Walli et Bom pour les séries Chlorophylle et Modeste et Pompon, de Bob de Moor, cheville ouvrière des studios Hergé, pour qui il dessine des décors de publicité Tintin et de Cori le Moussaillon, de Jacques Martin pour Les voyages d'Alix et enfin de Peyo, avec lequel il réalise, entre autres choses, L'aéroschtroumpf. Il rencontre le scénariste André-Paul Duchâteau avec qui il crée la série Rouletabille. Dès 1992, Les Aventures de Capucine, bébé insouciant et farceur, sont diffusées au Japon dans le magazine Morning des éditions Kōdansha. Noisette le hamster, quant à elle, petit personnage animalier, paraît dans le journal de Spirou et se concrétise ensuite en albums chez Joker. Vient en 2000 la série Albert Lombaire, qui conte les péripéties d'un médecin généraliste (Casterman). En 2003, Bernard Swysen


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "L'aventure, c'est l'aventure"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9208 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Klimt

Vienne, 1907. Le peintre Gustav Klimt rend visite aux époux Bloch-Bauer. Ferdinand demande alors à Gustav de réaliser le portrait de sa femme, Adèle ; requête entraînant un flashback. Six ans auparavant, alors que Klimt essuyait des critiques acerbes au sujet de son œuvre La Médecine , il a rencontré ce couple, admirateur de son génie et dont la femme l’a prié de lui ouvrir les portes de son atelier. Au même moment, l’artiste recevait en rêve l’inspiration pour son prochain tableau. C’est par ce prisme que l’on entre dans l’univers de l’artiste : son atelier, ses modèles, sa mère, sa compagne, Émilie, mais aussi ses rêves, ses angoisses, ses sources d’inspiration en somme. L’histoire narrée en bande dessinée par Cornette et Marc-Renier est une tranche de vie, prétexte à l’évocation du peintre, de son style, de son époque et de l’avant-gardisme dont il y faisait preuve. L’idée est en effet plus de mettre en avant ses particularités que de réaliser sa biographie. Le récit est assez simple et aurait peu d’intérêt sans l’aspect « inspiré de faits réels », mais n’en est pas moins cohérent et bien rythmé.Les dessins sont soigneusement détaillés. Le rendu est classique, avec un crayonné assez fort accentuant les sujets principaux. Les travaux de Klimt évoqués sont réinterprétés plutôt que cités et le résultat est réussi et efficace : le redesign des œuvres permet une intégration fluide dans les cases tout en invitant à les découvrir sous un angle neuf.Le récit principal est suivi d’un court cahier didactique sur Gustav Klimt. Il complète la bande dessinée en développant quelques sujets qu’elle évoque. On y voit notamment des reproductions des œuvres évoquées dans l’album. Ainsi, le lecteur a à portée de main de quoi satisfaire sa curiosité, titillée par l’histoire racontée en images et phylactères.La bande dessinée Klimt est une introduction sympathique à l’œuvre de l’artiste. Les connaisseurs n’apprendront probablement pas grand-chose, là où les néophytes apprécieront l’accessibilité du propos et les informations proposées en fin d’ouvrage. Les visuels soignés plairont aux amateurs de bande dessinée traditionnelle, alors que l’histoire…

Bernadette, affaire non classée

Une bande dessinée pour découvrir la célèbre histoire de Bernadette…