L’avant-mère



À PROPOS DE L'AUTEUR
Claude Bauwens
Auteur de L’avant-mère
Né à Spiennes. Il procède depuis toujours, semble-t-il à l'ensommeillement. Son moi est celui d'un dormeur, il est blanc, il aime rentrer - il n'est jamais sorti - dans les fougères. Il rêve à longueur de livres et de la vie, le retour. Rêve blanc où il n'a pas de lieu, où il s'est effacé. Dès lors, l'oubli (de soi) égale le souvenir. Dès lors, le chemin du retour annule Je et restitue l'indivision avec la mère, en passant par l'entre-deux, le "juste milieu" de labrume de chaleur, de l'eau et du ventre maternel. C'est ce paysage fascinant/fasciné que fixe "l'œil ouvert sans fin" de Claude Bauwens, jusqu'à l'obsession.

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Depuis ce jour

Depuis ce jour, j'ai été adoptée par les familles de Papa et Maman. Pourtant, je suis heureuse. Depuis que ses parents sont décédés, Colette, sept ans, habite chez Tante Jane et Oncle Jean, qui la considèrent comme leur quatrième fille. Le jeudi, elle rend visite à sa soeur, qui réside chez Tante Antoinette, et, la fin de semaine, les deux fillettes retrouvent leur frère chez leurs grands-parents. Malgré quelques vagues de nostalgie et les visites au cimetière, elle vit heureuse en rêvant aux enfants qu'elle-même aura un jour. Un album abordant avec infiniment de sérénité et de simplicité la question du deuil des parents et de l'adoption par la famille. Des croquis rehaussés de lavis aux teintes chaudes ajoutent à la douceur…