L’Aubaine

À PROPOS DE L'AUTRICE
Rose-Marie François

Autrice de L’Aubaine

Rose-Marie François est poète, philologue polyglotte, romancière, dramaturge, rhapsode. Sa passion pour les langues étrangères lui est venue lors d’une punition maternelle – elle avait six ans – « Écris dix fois : Je ne peux pas parler patois. » (voir La Cendre, Les Chènes, micRomania 2013). « J’ai donc deux langues, et on ne veut m’en laisser qu’une ? J’en apprendrai encore beaucoup d’autres, na ! » Rose-Marie François a enseigné aux universités de Liège (Belgique), de Lund (Suède), de Lettonie (à Riga, honoris causa). Formée au théâtre (e.a. par Monique Dorsel, Yves Bical, Geneviève Page…) elle compose et joue des seule-en-scène.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "L’Aubaine"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 19177 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Les filles d’Aphrodite : Pas de fumée sans jeux (tome 2)

New York, au milieu des années 30. Lenni et Mona, deux jeunes filles de 20 ans, dirigent une agence matrimoniale baptisée "les filles d'Aphrodite". Guidées par leur flair, un peu de voyance et surtout par le délire ambiant de ces années-là, elles s'amusent à faire se croiser la vie de leurs clients. Mais les affaires louches, les complots et les meurtres ne tardent pas à faire irruption. Orpheline de naissance, Lenni vient d’apprendre l’identité de sa mère et de se découvrir une soeur jumelle assassinée. Va-t-elle enfin connaître son père ? Et qui est…

Mon corps, ce lieu de poésie témoin d’expérimentation criminelle

« Le 1 er  avril 2020, une journaliste avait réagi à la lettre indignée que j’avais adressée à la Première Ministre belge du gouvernement de transition, Sophie Wilmès, face au scandale  Proximus  : alors que le peuple belge est confiné depuis le 13 mars en raison de la pandémie de Coronavirus, les médias révèlent que la compagnie de téléphonie belge s’apprête à déployer parcimonieusement la 5G sur l’ensemble du territoire. Vingt-sept communes en Flandre, vingt-six en Wallonie feraient l’objet de zones tests. Les responsables communaux et les citoyens avaient-ils été consultés ? Bien sûr que non ! »  Ancrant son témoignage dans les bavures d’un geste politique indécent, l’auteure interroge la fuite en avant technologique et ultralibérale des sociétés numériques fondées sur des impératifs matérialistes et économiques au détriment de l’intégrité de la biosphère et de l’humanité.  Illustration de couverture : Théo Bouvier Chanquia « Le 1 er  avril 2020, une journaliste avait réagi à la lettre indignée que j’avais adressée à la Première ministre belge du gouvernement de transition, Sophie Wilmès, face au scandale Proximus : alors que le peuple belge est confiné depuis le 13 mars en raison de la pandémie de Coronavirus, les médias révèlent que la compagnie de téléphonie belge s’apprête à déployer parcimonieusement la 5G sur l’ensemble du territoire. Vingt-sept communes en Flandre, vingt-six en Wallonie feraient l’objet de zones tests. Les responsables communaux et les citoyens avaient-ils été consultés ? Bien sûr que non ! » Ancrant son témoignage dans les bavures d’un geste politique indécent, l’auteure, électrosensible, interroge la fuite en avant technologique et ultralibérale des sociétés numériques fondées sur des impératifs matérialistes et économiques au détriment de l’intégrité de la biosphère et de l’humanité.   ÉCOUTER UN EXTRAIT :    SonaLitté · Caroline Bouchoms - Mon corps, ce lieu de poésie…

Clac la trappe !

Quinze ans après sa création, la maison d’édition Versant Sud se lance en littérature de jeunesse et met en…