Largo Winch (tome 2) : Le groupe W


RÉSUMÉ
Sauvé de justesse (voir « L’Héritier »), Largo Winczlav devient Largo Winch. Et il découvre qu’il y a peut-être pire enfer que celui des prisons turques: celui de la haute finance. Et des requins qui l’entourent au Conseil d’Administration du Groupe W, dont certains attendent le moindre faux pas de sa part pour commencer la curée.
L’un d’entre eux, particulièrement. Celui qui l’a fait emprisonner. Qui n’a pas hésité à tuer pour cela. Et dont Largo sait qu’il est prêt à tout pour s’emparer du pouvoir. Prêt à tuer, encore et encore.

À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean Van Hamme
Auteur de Largo Winch (tome 2) : Le groupe W
Scénariste né en 1939, il a longtemps collaboré sur l'hebdomadaire Tintin.
Thorgal, Les Maîtres de l'Orge, Largo Winch et XIII sont parmi ses créations les plus populaires.
Philippe Francq
Illustrateur de Largo Winch (tome 2) : Le groupe W
Philippe Francq est né à Etterbeek le 13 décembre 1961. Après une scolarité sans histoire, il décide de terminer ses humanités dans une section artistique et il rentre à Saint-Luc en septembre 1978. C'est là que, réellement, on va lui apprendre à tenir un crayon et à remplir une feuille. En 1981, il rempile pour trois ans dans la section bande dessinée, dirigée à l'époque par Claude Renard. Au problème du dessin s'ajoute désormais celui, plus sérieux, du scénario. À 23 ans, il sort de Saint-Luc bardé de diplômes et se met à la fois recherche d'un éditeur et d'inspiration. Il travaille successivement avec Gabrielle Borille, scénariste avec laquelle il réalise les dix premières planches d'une histoire qui n'aboutira pas, et avec Bob de Moor, au Studio Hergé. Bob de Groot lui propose de travailler avec lui sur une série qui s'appellera "Des villes et des femmes" : ils aligneront deux albums pour Dargaud. Chez le même éditeur, Francq publie ensuite deux tomes de "Léo Tomasini" sur scénario de Francis Delvaux . Sa rencontre avec Jean Van Hamme en 1988 va changer son destin. L'écrivain et scénariste lui propose d'illustrer les adaptations qu'il envisage de tirer d'une série de six romans avec lesquels il avait connu un succès d'estime au Mercure de France, en ses débuts. "Largo Winch" constitue un cycle de thrillers modernes, souvent exotiques et toujours mêlés au milieu de la haute finance. Une oeuvre initialement très en avance sur son temps et assez médiocrement diffusée. Le dessin précis et efficace de Francq va la placer parmi les best-sellers absolus de la BD. Lancé dans la collection "Repérages", le premier tome dépassera les 50 000 exemplaires vendus à sa mise en place, le dixième avoisinera les 500 000 ! En parallèle, les romans sont réédités sous diverses formes, tandis qu'une grande série télévisée de 39 épisodes est diffusée à travers le monde. Philippe Francq et Jean Van Hamme se sont vus décerner le Sanglier 2007 du meilleur album adulte (un des Prix Uderzo) pour Les trois yeux des gardiens du Tao, le 15e album de leur série Largo Winch. Texte © Dupuis

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Largo Winch (tome 2) : Le groupe W"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9208 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

CHAMPS DE BATAILLE

Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…