Juillet 1975. Dans ses rêves, l’auteur revit l’expérience du songe d’Icare dans une version mi-hallucinée mi-drôlatique. Jusqu’à croiser dans son vol onirique un archange dont les rémiges vont chatouiller le nez de granit d’un gigantesque patriarche. Le rêveur semble sur le point de découvrir , avec la clé du songe, celle de l’infini cosmique. Dieu, que le réveil n’est pas comique!
Dans un village dévasté par la guerre et dont les uniques survivantes sont des femmes, un sacrifice se prépare.…