«L’arbre d’Apollon», c’est l’arbre à Lorie, l’étrange inhumée qui joue les Antigone et renoue l’une à l’autre les vies bien huilées de Man et Bob. Ça commence par une correspondance quelque peu contrainte, puis se poursuit par une narration alternée où se dessine l’inéluctable. Non pas le drame pathétique, mais les lignes d’un destin qui, de la banalité de deux existences à leurs rebondissements les plus rocambolesques, n’échappe pas à son point de départ: l’ardoise,…