L’anonyme


RÉSUMÉ

Il s’appelle Mark Clifton.
Aux États-Unis, il est considéré comme le plus grand acteur de sa génération. Adulé par les uns, détesté par les autres, il n’a jamais réussi à prendre au sérieux ni son métier ni sa célébrité. Lucide, sauvage, agressif, il est doué pour l’errance de femme en femme et ressemble davantage à un insoumis en liberté provisoire qu’à une star de cinéma.
Amélie, elle, dérive d’un boulot minable à un autre en souriant. Assez sûre de son charme vénéneux comme de son sens de la dérision. Brumeuse et solaire, excitante et déchirante, souveraine et déchirée, elle passe sans cesse de l’enfant perdue dans ses brumes à la jeune femme ivre de vie que rien n’impressionne. À première vue, ce n’est sans doute qu’une petite blonde comme une autre, mais elle va entrer dans la vie de Mark Clifton avec une singulière présence.
Jacques Sternberg avait déjà prouvé avec Toi, ma nuit puis avec Sophie, la mer et la nuit, qu’il préférait l’insolite à la psycho, le suspense sexuel à la romance sentimentale. Paradoxalement, cette fois sur un thème apparemment banal, il signe un livre encore plus obsédant, encore plus curieux. Et, surtout une troublante histoire pleine d’orages, d’ambiguïté et d’imprévu.



À PROPOS DE L'AUTEUR
Jacques Sternberg
Auteur de L’anonyme
Né en 1923 à Anvers d’un père d’origine polonaise, Jacques Sternberg s’adonne à l’écriture dès l’âge de dix-neuf ans. Considéré comme l’auteur de nouvelles en langue française le plus prolifique du siècle dernier, l’écrivain belge signe en effet plus de 1500 textes courts parmi lesquels les Contes glacés (1974), 188 Contes à régler (1988) ou Si loin de nulle part (1998). Également romancier, essayiste et dramaturge, il est lauréat du Grand Prix de l’humour noir Xavier Forneret pour L’Employé en 1961 et du prix Thyde Monnier de la Société des Gens de lettres pour l’ensemble de son œuvre en 1986. Jacques Sternberg a par ailleurs réalisé le scénario du film d’Alain Resnais, Je t’aime, je t’aime (1968). Il a joué dans quelques films dont La Chute d’un corps, de Michel Polac et a dirigé la collection « Humour secret » chez Julliard entre 1963 et 1967. L’infatigable écrivain voue également une grande passion aux chats et à la mer. Il s’éteint en 2006 à Paris.

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