La vengeance


RÉSUMÉ

En avril 1876, Hatton, un éleveur du Wyoming, emmène sa grande fille Anna et son jeune fils Tom en ville, laissant son épouse seule au ranch, isolé dans une plaine. Hélas, quelques heures plus tard, viennent à passer par là trois bandits qui comptent bien qu’on les accueille « chaleureusement »… Six mois plus tard, Hatton s’est mis en chasse du salopard suspecté du meurtre de son épouse. Tout indique qu’il s’agit de Jim Pickford et de ses sbires. Mais les autorités sont en effectif insuffisants pour mener des recherches officielles… Alors Hutton a décidé de se faire vengeance lui-même. Il le traque ainsi et il s’en approche de plus en plus, désormais qu’il traverse le Montana. Il a emmené sa fille et son fils dans sa quête vengeresse, malgré les conditions hivernales et enneigées difficiles. La météo et le terrain sont hostiles : il leur faut traverser des champs de congères, des étendues de glace qui craque parfois sous le poids de leurs montures ! Mais un feu de camp encore frais, au pied d’une falaise leur indique qu’ils ont trois heures d’avance sur les trois hommes. Soudain, la famille Hutton entend des coups de feu provenant de l’autre versant. Ils se savent désormais vraiment tout près…




AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "La vengeance"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9208 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Les Saisons de la vie : Accordailles (tome 1)

Si filles et garçons se côtoient parfois jusqu'à l'âge du catéchisme, après, c'est le gouffre ; le gynécée d'une part, l'atelier ou le chantier d'autre part. Quand ils sont en droit de se revoir, ils sont devenus des étrangers parfaits ; la gamine à qui on crêpait le chignon à la sortie…

CHAMPS DE BATAILLE

Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…

La réponse

Pour répondre à La question, bande dessinée réalisée par Moolinex…