Auteur de La trop sage Lucie Biquette
Née le 31 août 1975 à Liège
Licence et doctorat en Sciences psychologiques, UCL, Louvain-la-Neuve
Je travaille en étroite collaboration avec l’illustratrice, d’abord sur l’histoire (ancrée dans le vécu des enfants au départ, mais avec une touche certaine de magie), ses péripéties et sa structure. Ensuite, j’écris le texte en solo, avant de le faire lire à droite à gauche et de le tester directement sur ma marmaille… Dans le futur, j’ai le projet de m’essayer à des récits plus fantastiques, pour un public un peu plus âgé.
Illustratrice de La trop sage Lucie Biquette
La solitude peut aussi être un vilain défaut. Voici une petite chèvre, Lucie Biquette, qui un jour décide d’être sage. Et pour être sage, mieux vaut de rien faire. Elle finit pourtant par tomber dans un ennui profond. Mais bientôt, un doudou imaginaire, du nom de Sacripant, va venir bouleverser cette petite vie trop tranquille. Un rythme soutenu, des illustrations reflétant parfaitement…
Flip et Flap cherchent un trésor
Le grand-père de Flip et Flap leur a laissé une mystérieuse carte avant de disparaître. Les deux petits ratons laveurs décident de partir à la recherche du trésor dans la forêt et croisent de nombreux animaux sur leur chemin. Au terme de leur aventure, Flip et Flap sont heureux d'avoir rencontré plein de nouveaux amis, n'est-ce pas le plus beau trésor qu'on puisse espérer trouver ? Le grand-père de Flip et Flap est mort. Mais, avant de mourir, il leur a confié une carte au trésor. Les deux ratons laveurs n’hésitent pas : ils partent à la découverte du trésor, comme leur grand-père aventurier le faisait avant eux. Cependant, le parcours n’est pas facile : il faut affronter l’orage, ne pas céder à la tentation de raconter leur quête aux animaux rencontrés et réussir à suivre les bonnes pistes. Au passage, Flip et Flap vont aussi devoir aider nombre d’amis croisés en chemin. Les illustrations de cet album plongent immédiatement le lecteur dans l’histoire. En effet, toutes rondes, elles sont pleines de tons chaleureux, mettant bien en valeur la saison automnale du récit, et, réalisées au crayon, elles donnent une douceur qui offre à l’histoire un climat apaisant. Tout de suite, le lecteur ne peut alors que s’attacher aux deux compères et avoir envie de les suivre dans leur aventure. Pleine de rebondissements, celle-ci est truffée de bonnes surprises qui prônent les valeurs de l’amitié et de l’entraide. Puis, au dénouement, une autre lettre du grand-père est trouvée : il ne faut pas hésiter à voyager. Voilà un message très bien passé grâce à cette histoire et qui donnera très certainement envie aux jeunes lecteurs de partir explorer la forêt. On ne peut que souhaiter que les lecteurs fassent d’aussi…
Contrairement à sa grand-mère Minouche dont nous avons fait connaissance dans le premier album de la série « Quelle famille! », le grand-père de Tom est plus traditionnel. Mais un grand-père traditionnel n’est pas forcément ennuyeux. Celui de Tom est très dynamique: entre les parties de luge, les parties de cartes, les après-midis bricolage et les souvenirs…