« Au départ je n’ai pas cru à cette histoire d’oiseau dans le moteur, parce que la secousse était trop forte pour être due à un simple volatile, ou alors il aurait fallu que ce soit un albatros et ça n’était pas possible. Alors j’ai pensé un instant, parce que tout le monde y pense depuis 2001, putain merde Al-Qaida, mais non, c’étaient pas les terroristes, c’était bien un oiseau dans le moteur, le pauvre. J’ai fermé les yeux jusqu’à Tanger. »
Auteur de La traversée de Tanger
Parfois, on ne sait pas ce qui brûle. On voudrait ne pas savoir. Les flammes gardent le secret…