Quand cinquante habitations bruxelloises se couvrent de motifs étranges en l’espace d’une nuit, Maxime Peeters pressent qu’il ne s’agit pas d’une simple manifestation artistique. Son enquête journalistique sur ces tags démesurés a tôt fait de se transformer en quête personnelle. Mené sur un rythme haletant, La tendresse des séquoias tente de répondre à cette question : et si nous venions au monde le jour où nous décidons de dessiner nous-mêmes…
Auteur de La tendresse des séquoias
Avez-vous déjà senti, respiré la force et la douceur d’un arbre que vous étreigniez, avec la certitude d’être à votre juste place dans le monde ?C’est sur le souvenir ineffaçable de ce moment presque mystique que s’ouvre – et s’achève – le roman de Jean-Sébastien Poncelet La tendresse des séquoias.Ne vous y trompez pas : entre ces instants suspendus, d’une intime plénitude, d’une mystérieuse communion, l’auteur vous emmène insensiblement par des chemins tortueux, cernés d’ombres inquiétantes.Le cadre : Bruxelles.Les personnages principaux : Charles Letellier, critique d’art redoutable, expert en pamphlets au vitriol, qui n’hésite pas à pulvériser un talent, s’il risque de porter ombrage à ceux qu’il…
Grand Nord a été commencé en 2018 à bord du voilier Knut, au large du Groenland, où je participais…
Victor Hugo : Les années d'exil et d'écriture à Bruxelles (L'Article n°4)
Collection "L'Article", n°4 Éditorial de Maxime Lamiroy : La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert notre tête et notre pays.La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert…