La solitude des tabernacles

RÉSUMÉ

Laure, jeune veuve, a découvert dans la sculpture le sens et le but de sa vie. Elle engage dans sa passion la totalité de son énergie, de son temps, de ses aptitudes… Elle tombe gravement malade et demande à André, son meilleur ami, et qui a toujours été silencieusement amoureux d’elle, de revenir du Canada pour passer quelque temps en sa compagnie, parce qu’elle sait sa maladie incurable, et elle a sans doute besoin d’une présence chaleureuse et aimante…

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À PROPOS DE L'AUTEUR
Fernand Tomasi

Auteur de La solitude des tabernacles

Fernand Tomasi est né le 3 décembre 1934 à Orsainfaing, aujourd'hui commune de Habay. Son père, Giuseppe Fortunato Tomasi, est un artisan italien (menuisier) émigré en Belgique pendant la période mussolinienne. Originaire d'un village de la Valcamonica perché à 1500 mètres d'altitude, en Lombardie orientale, il a épousé en secondes noces Giovanna Giacomina Tomasi, originaire du même village que lui, qui sera la mère du sculpteur-écrivain.Fernand Tomasi, bon élève de l'école primaire, fait ses humanités à Bure. Puis, d'août 1954 à janvier 1956, son service militaire. Ensuite, il travaille, de février à septembre 1956, dans une mine de charbon pour gagner de l'argent et payer des études qu'il reprend aussitôt. Il devient, en 1958, régent littéraire, obtenant son diplôme à l'ISMA, à Arlon. De 1958 à 1960, il enseigne à Lusambo puis à Bukavu (Zaïre, ex-Congo belge). Il revient au collège N.-D. du Bonlieu, à Virton, où il professe jusqu'en 1990. Animateur et pédagogue, il enseigne également, bénévolement, la sculpture dans différents mouvements de jeunes et d'amateurs (notamment au Centre culturel de Rossignol).Il est établi à Meix-devant-Virton, où il a construit sa maison en 1965.Il a terminé en 1991 la restauration d'une maison familiale dans le village italien d'où sont originaires ses parents (ses livres de prose présentent de nombreuses traces de cette expérience) et a aussitôt entrepris la restauration d'une autre, achetée à Louppy-sur-Loison (France) : le goût, constant chez lui, du travail manuel. Marié en 1959 à Claude-Marie-Hélène Romlinger, de nationalité française, il a trois enfants. Parlant de lui-même, il a écrit :Il considère sa famille comme la première priorité. Sa réflexion artistique lui semblerait appauvrie s'il n'était pas entouré de ce noyau de vie normal. Il pense que l'artiste doit d'abord être un homme normal et non quelqu'un qui serait mal adapté à la vie [...]

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