« J’ai tué un homme qui ne m’avait rien fait. Moi ! Moi, Abram Potz, de mes mains crevardes et frigides, sans mobile apparent, j’ai jeté un homme à la mort. J’ai aboli une âme. Et voici que ce premier crime m’apporte, je ne dirai pas la joie de vivre – je n’en demande pas tant -, mais une raison de différer mon trépas. Je suis moins pressé de mourir, je sens en moi une alacrité nouvelle… ». Abram Potz, psychanalyste juif ashkénaze au rancart, vieillard…
Auteur de La seconde vie d'Abram Potz
Paris, 1663. Au cours d'une soirée, Armand, marquis de Canilhac, reconnaît, au cou d'une jeune Iroquoise, un saphir qui appartenait à son frère adoptif, Loup, qu'il a trahi et condamné aux galères vingt…
Dans un roman contemporain, explosant de sensualité et de passion, d'évocations…
« La bande qui déambule autour de la piscine par groupes de deux ou trois ne ressemble pas à des touristes ordinaires.…