« J’ai tué un homme qui ne m’avait rien fait. Moi ! Moi, Abram Potz, de mes mains crevardes et frigides, sans mobile apparent, j’ai jeté un homme à la mort. J’ai aboli une âme. Et voici que ce premier crime m’apporte, je ne dirai pas la joie de vivre – je n’en demande pas tant -, mais une raison de différer mon trépas. Je suis moins pressé de mourir, je sens en moi une alacrité nouvelle… ». Abram Potz, psychanalyste juif ashkénaze au rancart, vieillard…
Auteur de La seconde vie d'Abram Potz
Sandrine se réveille un matin dans sa maison d’enfance où trônent les objets et les meubles…
Louis et Augustin vont faire une blague à leurs parents. Ils vont inventer qu'ils sont partis au Canada…
Le narrateur, Lejeune, est sorti sans éclat d'une école de beaux-arts…