Georges Ravières, pensionnaire d’une maison de retraite près du Lavandou, se prend d’affection pour Julie, la femme de chambre, au point de la considérer comme la fille qu’il n’a pas eue et d’en faire son unique héritière. Derrière le visage de Julie, deux autres visages surgissent, aimés eux aussi, avant. Trois femmes. Trois tranches de vie. Trois portes ouvertes, puis refermées. Et cette quatrième porte, l’ultime, qu’au-delà de toute déchirure, de tout abandon, il lui reste à franchir.
Auteur de La quatrième porte
Ni pardon, ni talion : la question de l'impunité dans les crimes contre l'humanité
Une analyse critique de la justice en matière de crime contre l'humanité. Selon l'auteur, à la fois nécessaires et insuffisantes, les institutions judiciaires ne peuvent être que le point de départ d'une lutte plus vaste contre la barbarie universelle, fondée sur un consensus sur le droit de l'être humain, une éducation…