La porte de l’enfer


RÉSUMÉ

Sous le pseudonyme de Saül Bergman
«Metz, un vieux quartier en cours de rénovation. Un champ de ruines où arrive un étrange soldat au nom bizarre. Il cite régulièrement l’Apocalypse et erre dans les vieilles rues comme un fantôme. Est-il, comme il le dit, le soldat universel, celui qui annonce la destruction et la mort ? Où est-ce le garçon torturé dont la mère s’est fait assassiner quelques années auparavant ? Nul ne le sait. Peu l’ont reconnu, peu lui parlent et ses seuls compagnons…


À PROPOS DE L'AUTEUR
Paul Couturiau
Auteur de La porte de l’enfer
Si on en croit l’état-civil, je suis né le 27 juillet 1952, à Bruxelles. Une chose est sûre, mes racines plongent en terre de Breughelland… n’en déplaise aux imbéciles qui veulent la peau de la Belgique. J’avais douze ans quand ma grand-mère m’a dit: «Toi, tu seras journaliste». Avec l’aplomb de cet âge insolent, j’ai rétorqué: «Non, je serai écrivain!». Ça m’en a pris du temps! Faut dire que mes parents me rêvaient fonctionnaire. Pour les contrarier, j’ai étudié le marketing et la publicité avant de tâter de la banque pendant dix interminables années d’ennui. Pour survivre, j’ai créé une troupe de théâtre, qui a vécu des heures heureuses à ‘L’Île Saint-Louis’, petit théâtre – hélas défunt – de la rue des Éperonniers; j’ai aussi créé un magazine littéraire, Magie Rouge, et j’ai écrit, écrit, écrit… Enfin, l’appel du large est devenu insupportable. Je me suis embarqué pour Paris sur un vieux rafiot qui m’a fait échouer sur le rivage d’un éditeur, où j’ai trouvé à m’employer comme traducteur et conseiller littéraire. C’était en 1981, l’année de ma vraie naissance – un moyen efficace pour rester jeune, non? Mon premier roman est paru en 1992… il a remporté le Grand Prix de Littérature Policière. Depuis, je continue à écrire. Aujourd’hui, après des années à avoir joué traducteur, conseiller littéraire, directeur de collection, directeur d’édition, je ne fais même que ça… écrire. Pourquoi? Parce que la réalité m’ennuie. Alors, je me réfugie dans l’imaginaire. Là, je me sens bien. Je suis chez moi. Avec ma famille: mes personnages et ceux des romans que j’ai aimés.

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