La paille aux braises | Objectif plumes

La paille aux braises

RÉSUMÉ

Quelques émotions et besoins fondamentaux régissent notre vie; le plus souvent, nous n’en sommes guère conscients ou alors, à certains moments vraiment cruciaux… Par exemple savoir avec certitude qui sont nos parents, pour pouvoir nous glisser dans notre « lignée familiale », ou nous construire avec un manque, un besoin inassouvi, mais connu, c’est indispensable! Et voilà : « Au nom du père »… Par exemple, expérimenter la peur, celle qui nous prend aux tripes, nous fait foncer ou…

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À PROPOS DE L'AUTEUR
Michel Reims

Auteur de La paille aux braises

En 1982, Michel Reins s'installe derrière le micro d'une radio locale de la Basse-Sambre, il a 16 ans. D'emblée touché par le virus de l'animation, il présentera des émissions pendant plus de trente ans en passant par Contact, Chérie Fm, DH Radio mais surtout Nostalgie. Sur la radio des légendes, il animera les petits mations du week-end durant 20 saisons consécutives. Fonctionnaire à la police, formateur de jeunes dans le football, animateur de radio, Michel ne s'ennuie pas! En 2014, ce papa de trois garçons, marchois d'adoption, met un terme à ses activités d'animateur de radio et se lance dans l'écriture. En 2015, il participe au prix Crépuscule qu'il remporte avec sa nouvelle Le balcon. Ce prix lui permet de proposer, début 2016, son premier recueil de nouvelles La paille aux braises. Ce qu'il apprécie dans ses nombreuses activités, c'est la relation à l'autre, un thème omniprésent dans ses premiers écrits. Il dit d'ailleurs : "J'ai toujours affiché une grande faculté d'écoute et d'empathie pour celui qui se confie à moi. Ecouter les autres est enrichissant. Cette richesse intérieure, je la place désormais au service des histoires que j'écris".

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Nouvelles de Belgique

La littérature serait-elle le meilleur moyen de découvrir une région ? Comment percevoir autrement l’esprit d’un lieu qu’à travers la perception intime qu’en donne un écrivain ? Les éditions Magellan & Cie ont répondu avec conviction à ces questions en imaginant leur collection « Miniatures », qui vient de consacrer un de ses derniers titres à la Belgique.«  Alors que la mondialisation des échanges progresse, que le monde devient un pour tous, des mondes-miniatures s’imposent, des pays et des régions entières affirment leur identité, revendiquent leur histoire ou leur langue, réinvestissent pleinement leur espace. Quoi de plus parlant qu’une miniature, la nouvelle, pour lever le voile sur ce monde-là, celui d’une diversité infinie et porteuse d’espoir ?  », voilà en quelques mots comment l’éditeur, Pierre Astier, présente cette initiative qui a déjà publié une quarantaine de titres aussi variés que ceux consacrés à Cuba, Haïti, Montréal, le Liban, le Mali, le Congo, la Corse ou la Bretagne, la Catalogne, la Serbie ou la Corée, etc. Lire aussi : notre recension de  Nouvelles du Congo Ce recueil consacré à la Belgique a ceci de particulièrement réjouissant qu’il est le reflet du cosmopolitisme de notre petit pays, terre de passage et d’échanges, à la croisée de grandes cultures. C’est également un superbe florilège d’écritures et d’univers que nous révèlent les six auteurs de ces nouvelles : si les noms de Nadine Monfils et Patrick Delperdange ont des connotations bien francophones, ceux d’Alfredo Noriega, Aïko Solovkine, Katia Lanero Zamora et Kenan Görgün ne seraient pas a priori rangés dans un rayonnage français. Regrettons au passage qu’aucun auteur flamand ne figure au sommaire puisqu’il s’agit d’un recueil intitulé Nouvelles de Belgique . Une suggestion à glisser à l’éditeur pour un deuxième tome ! Ne boudons pas notre plaisir cependant.Si l’on retrouve sans surprise la verve osée et franchouillarde de Nadine Monfils et les ambiances lourdes, voire sombres, de Patrick Delperdange, cette fois dans la touffeur d’une forêt ardennaise, les registres d’Alfredo Noriega, Aïko Solovkine et  Katia Lanero Zamora nous sont moins connus et nous réservent de belles surprises. Le premier n’a rien à envier à ses confrères latinos : il nous conte une histoire à la grande puissance imaginative entre une enfance équatorienne et des rencontres singulières dans le quartier des Marolles. Les deux textes suivants nous immergent dans des humanités en déshérence, tantôt confrontées aux restructurations, délocalisations, grèves et paysages industriels décrits avec une force visuelle rare, tantôt perdues entre deux appartenances culturelles surgies de l’exil d’une famille espagnole en pays liégeois. Si Solovkine nous confronte à la brutalité sociale, la nouvelle de Katia Lanero Zamora nous émeut par une dignité familiale retrouvée. Nous partageons le choix de l’éditeur s’il a voulu nous réserver le meilleur pour la fin : dans « Résurrection de Cyrano », Kenan Görgün met en scène deux frères turcs établis en Belgique. Ils y ont développé deux visions opposées de la vie professionnelle, de la vie tout court et de l’engagement, alors que du temps de leur jeunesse, ils se retrouvaient à l’unisson dans les…

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