La mort dans l’âme

À PROPOS DES AUTEURS
Franz Hellens

Auteur de La mort dans l’âme

Franz Hellens est le pseudonyme de Frédéric van Ermengen. Élevé à Gand, Hellens trouve dans cette ville sa première inspiration (En ville morte, 1905), traduite à la manière de ses aînés (Les Hors-le-vent, 1909). Si Les Clartés latentes (1912) amorcent une évolution vers un art plus attique, c'est cependant un long séjour méditerranéen qui ouvre pour lui une nouvelle ère, marquée par la féerie fantastique de Mélusine (1920), et par Le Disque vert, revue moderniste. L'œuvre, abondante et protéiforme, explore la zone indécise qui, dans les esprits et dans les choses, sépare la réalité et le fantastique (Réalités fantastiques, 1923); ce thème continuera à inspirer l' essayiste, à qui on doit, à côté d'une Poétique des éléments et des mythes (1966), une réflexion sur Le Fantastique réel (1967). Dialectique qui nous vaut des tentations réalistes (La Femme partagée, 1929) aussi bien que des ouvertures symbolistes (Mémoires d'Elseneur, 1954) ou les cruautés cérébrales de Moreldieu (1946). (source : Anthologie Espace Nord)
Elisabeth Ivanovsky

Illustrateur de La mort dans l’âme

Elisabeth Ivanovsky est née à Kichineff en Russie où elle a suivi les cours de l'école des beaux-arts. Elle se perfectionne à partir de 1932 à l'Ecole nationale supérieure des arts visuels de la La Cambre de Bruxelles. Outre l'illustration, elle se consacre à l'art du monotype, la peinture et le dessin. La bibliographie d'Elisabeth Ivanovsky compte aujourd'hui plus de 400 titres.


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