«Il n’est aucun récit factice», écrit Nicolas Florence dans ce roman du récit. Son personnage principal, une journaliste, grand-reporter envoyé dans les pays où sévissent guerres, massacres, exécutions, éprouve au plus vif les affres d’une réalité odieuse qu’elle doit restituer au plus grand nombre au moyen de l’écriture. A quarante ans, célibataire après avoir été mariée, mère d’une jeune fille qui lui a échappé, le souvenir de l’enfance la tourmente. Sa grande ambition est l’écriture, non plus cette écriture journalistique de la réalité rapportée, mais celle, à la fois intime et rêvée, de la «fiction». Or, ses tentatives répétées pour trouver un éditeur se heurtent à des refus réitérés, comme si l’écriture «véritable» ne pouvait conduire qu’à la solitude et à l’incompréhension. Double récit, double narration, on peut parler, non sans trouble, de roman initiatique, tant l’auteur y conjugue l’art et l’ardeur d’écrire à un désenchantement où alternent ironie, lucidité et foi.
Auteur de La journaliste
Le journal de l'année 2006 de Melitza, une jeune Mexicaine. Il débute le 10 janvier…
Justin tait sa peur du noir par crainte d'être la cible des moqueries de son entourage. Jusqu'au jour où il se rend compte que son père a peur, lui aussi, quelquefois.Justin tait sa peur du noir par crainte d'être la cible des moqueries de son entourage. Jusqu'au jour où il se rend compte que son père a peur, lui aussi, quelquefois.Philippe Goossens et Thierry Robberecht proposent chez Mijade les aventures d’un nouveau personnage, Justin, un petit loup téméraire. Devant ses amis, Justin n’a peur de rien et se venterait plutôt de ses exploits. Peur de rien, c’est vite dit, car lorsqu’il voit une araignée, il appelle à l’aide. Il sera finalement sauvé par Max, son ami. Et lorsqu’il en discutera avec son père, Justin comprendra qu’on…