«Il n’est aucun récit factice», écrit Nicolas Florence dans ce roman du récit. Son personnage principal, une journaliste, grand-reporter envoyé dans les pays où sévissent guerres, massacres, exécutions, éprouve au plus vif les affres d’une réalité odieuse qu’elle doit restituer au plus grand nombre au moyen de l’écriture. A quarante ans, célibataire après avoir été mariée, mère d’une jeune fille qui lui a échappé, le souvenir de l’enfance la tourmente. Sa grande ambition est l’écriture, non plus cette écriture journalistique de la réalité rapportée, mais celle, à la fois intime et rêvée, de la «fiction». Or, ses tentatives répétées pour trouver un éditeur se heurtent à des refus réitérés, comme si l’écriture «véritable» ne pouvait conduire qu’à la solitude et à l’incompréhension. Double récit, double narration, on peut parler, non sans trouble, de roman initiatique, tant l’auteur y conjugue l’art et l’ardeur d’écrire à un désenchantement où alternent ironie, lucidité et foi.
Auteur de La journaliste
Dans ton camp : à défaut d’ailleurs
Les colonies de vacances, c’est un grand moment pour des ados de 16 ans… On peut y rencontrer ses meilleurs amis, comme ses pires ennemis. Pourtant, comme vont le découvrir Sonia, Émilie et Geoffrey, il ne faut pas juger un livre à sa couverture… Sonia, la candide, adore les histoires qui commencent et finissent bien. Son cœur d’or cache peut-être des sentiments plus noirs… Émilie, la tête brulée, préfère l’humour noir et les vilains mots. Ses dehors bravaches cachent cependant un grand sens moral… Geoffrey, le petit pervers, parle peu mais n’en pense pas moins. Il a juste besoin d’un coup de pied au derrière pour révéler ses talents… Dans Ton Camp, écrit par trois amis écrivains, raconte avec une bonne dose d’humour et d’autodérision, à quoi aurait pu ressembler leur rencontre il y a plus de dix ans, sur fond de fantastique et de folie douce. Les colonies de vacances, c’est un grand moment pour des ados de 16 ans… On peut y rencontrer ses meilleurs amis, comme ses pires ennemis. Pourtant, comme vont le découvrir Sonia, Émilie et Geoffrey, il ne faut pas juger un livre à sa couverture… Sonia, la candide, adore les histoires qui commencent et finissent bien. Son cœur d’or cache peut-être des sentiments plus noirs… Émilie, la tête brulée, préfère l’humour noir et les vilains mots. Ses dehors bravaches cachent cependant un grand sens moral… Geoffrey, le petit pervers, parle peu mais n’en pense pas moins. Il a juste besoin d’un coup de pied au derrière pour révéler ses talents… Dans Ton Camp, écrit par trois amis écrivains, raconte avec une bonne dose d’humour et d’autodérision,…
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