La Jérusalem captive


RÉSUMÉ

Et si c’était un juif qui se trouvait être à l’origine de la première croisade, celle menée par Godefroi de Bouillon ?
Thriller contemporain et faux roman historique, La Jérusalem captive dresse un portrait décapant des mœurs eurocratiques, éditoriales et universitaires de cette fin de siècle et nous promène avec humour entre Histoire et actualité.
Derrière ses rebondissements cocasses, ce quatrième roman d’Alain Berenboom pose aussi une question grave : qui a donc intérêt aujourd’hui à manipuler l’Histoire ?



À PROPOS DE L'AUTEUR
Alain Berenboom
Auteur de La Jérusalem captive
Lorsque Alain Berenboom a publié son premier roman, beaucoup de commentateurs furent surpris "de l'apparent décalage entre le sérieux de sa vie professionnelle et ses audaces de romancier" (D. Meurant, préface à l'édition chez Labor de "La Position du Missionnaire roux"). L'humour mordant, l'impertinence du romancier, autant que l'érotisme parfois provocant de son roman semblaient bien loin des vertus qu'on attend des hommes de robe. Depuis, alors qu'on a appris à mieux connaître la justice belge, c'est plutôt Berenboom qui fait sérieux... Sérieux, il l'était en fait. Si "La Position…", "Le Pique-nique des Hollandaises" ou "La Jérusalem captive" sont des romans hilarants, il aurait suffi de rien pour qu'ils tournent à la tragédie. La famine, la dictature, l'injustice, l'abus de pouvoir, la connerie sous toutes ses formes sont des thèmes centraux de son oeuvre. Tous ses romans se déroulent dans les coins les plus brûlants de la planète, l'Afrique dans "La Position...", la Chine dans "La Table de riz", la Pologne en pleine dé-communisation dans "Le Pique-Nique...", les centres de décisions européens dans "La Jérusalem", ou l’Anvers pré-fasciste dans "Le Lion noir". Comme l'écrivait D. de Saint-Vincent (dans Le Quotidien de Paris), "Berenboom règle ses comptes à l'humanité. C'est un tir nourri comme à la foire, (il) casse la baraque. C'est Tom Sharpe en visite chez les humanistes on en sort plié en deux et vaguement inquiet sur la nature humaine". Jacques De Decker le qualifie de "déboulonneur d'idoles intellectuelles" (Le Soir) et le Dictionnaire des Belges parle du "talent original de cet observateur fantasque et lucide de la réalité planétaire contemporaine". Mais c'est l'humour avant tout qui définit le mieux son style, l'humour sous toutes ses formes, "de l'ironie féroce ou douce-amère au burlesque le plus délirant". Il fait feu "contre tous les conforts idéologiques" (D. Meurant). Il était temps que la littérature française retrouve avec lui cette tradition "d'auteurs à la fois brillants, iconoclastes et incisifs", "qui jettent un peu d'huile dans le feu pâle sur lequel mijote -comme une soupe déjà éventée- le roman de papa" (D. Walther, Dernières Nouvelles d'Alsace). Elsa Colpin 2 ŒUVRES QUE JE SOUHAITE FAIRE CONNAÎTRE I.B. Singer, Shosha Blaise Cendrars, Moravagine DES LIVRES DE MA BIBLIOGRAPHIE impossible de choisir entre mes six romans !

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