Comme à Vienne, chez Schnitzler, ou à Rome, chez Marguerite Yourcenar, avec « Denier du rêve », la vie passe, «la grande roue» tourne, d’une créature à l’autre, dans ce récit qui a Bruxelles pour décor, et « La Ronde » pour modèle. Sans y prendre garde, on glisse d’une femme à un homme, d’une mère à son fils, d’un vieillard à un enfant, de la malade à l’infirmière, et soudain la boucle a retrouvé son point de départ, le tour est joué, le livre est fait, nous voici riches d’une galerie…
"Polders. Entre le ciel et l'eau, la lumière y est partout souveraine. Paysages…