« La folie originelle est la chronique d’un cataclysme qui devra s’abattre, qui s’abat, qui s’est abattu, selon le mode récurrent, sur une ville, la ville formée d’air, de pierres, d’arbres et de gens, d’êtres humains vivant ensemble. Sans cesse, l’air circule. Les pierres se réchauffent puis tiédissent. Les arbres vieillissent. Les gens lavent les vitres de leurs fenêtres que salissent la pluie et la poussière ; ils sortent à l’extérieur et rentrent à l’intérieur. Et la terre, lestée…
Auteur de La folie originelle
(*)qu'importent nos motsils roulent pêle-mêledans le grondement des lamesvenues…