Publié chez Onlit Éditions en février 2019, La Femme qui chante de Jacques Richard nous bouleverse par ses tableaux emplis de poésie. À travers une forme atypique, le lecteur découvre Solange, tantôt confrontée à la mort, tantôt soumise au regard des autres.
Publié chez Onlit Éditions en février 2019, La Femme qui chante de Jacques Richard nous bouleverse par ses tableaux emplis de poésie. À travers une forme atypique, le lecteur découvre Solange, tantôt confrontée à la mort, tantôt soumise au regard des autres.
Il y a quelque chose de froid dans l’œuvre scripturale de Jacques Richard. Cette impression est d’autant plus déroutante que l’auteur n’hésite jamais à nous confronter à l’intériorité de ses personnages. Dans leur intimité crûment dévernie, ces derniers nous tiennent pourtant en respect, à l’extérieur. Ils restent hors de portée. Les mécanismes d’empathie, si confortables, ne s’enclenchent donc pas ; ce n’est pas le propos. On pourrait se croire à une représentation théâtrale : il y a des protagonistes, des scènes, des mono/dialogues, mais aussi une distance entre le public plongé dans l’obscurité silencieuse et les acteurs évoluant en actes et en paroles sur les planches. Mais la comparaison ne se pousse pas plus loin car rien n’est joué…
"Polders. Entre le ciel et l'eau, la lumière y est partout souveraine. Paysages…
Écrit à la première personne, L’Herbe à brûler narre les péripéties du jeune Conrad.…