La Disparition de la chasse







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Le Carnet et les Instants

D’emblée, dans son premier roman, La disparition de la chasse, publié aux éditions Quidam qui (à notre connaissance) accueillent leur premier Belge dans leur catalogue, Christophe Levaux plonge le lecteur dans une civilisation en déliquescence, dont les esprits s’essoufflent et souffrent passablement.Le tableau initial est celui d’une nouvelle gare chimérique dans un pays de charbonnages à l’abandon. Tableau connu pour qui a traversé la Wallonie d’est en ouest par le train. Mais nous sommes en Europe au XXIe siècle et, mobilité oblige, les protagonistes, tous braves petits soldats d’une grande entreprise, sont amenés à Rome pour un de ces séminaires que notre époque en crises a multipliés à l’envi. Une manière bien souvent illusoire de se donner l’impression…


Karoo

Le Belge Christophe Levaux publie chez Quidam un premier roman qui signe son entrée en littérature. Si la Disparition de la chasse peine un peu à tisser un récit auquel accrocher son lecteur, il marque l’esprit par une écriture audacieuse d’une grande modernité.


J’ai failli ne pas aimer ce livre. Dès les premières lignes, j’ai eu peur d’y trouver ce qui est pour moi un repoussoir dans une certaine littérature contemporaine : le fait, chez des écrivains dotés d’un joli talent, de se regarder écrire en déployant leur style à vide. Je suis de ces lectrices un peu conventionnelles qui aiment que les mots disent ou racontent. J’ai changé d’avis aux alentours de la deuxième phrase (à ma décharge, la première est fort longue, on a…


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