La déesse d'Adlerburg


RÉSUMÉ

Enfin, la surprise de ce début d’année, le dernier roman d’Henri Vernes, inédit, DON, La déesse d’Adlerburg, dont il débute l’écriture à près de 100 ans. Conscient qu’il ne pourra pas terminer cet ultime roman il charge l’auteur Richard Colombo de terminer l’ouvrage après sa mort en lui confiant un plan précis de l’histoire. Cet inédit d’Henri Vernes est illustré par André Taymans.




COUPS DE CŒUR ET SÉLECTIONS

À PROPOS DES AUTEURS
André Taymans
Illustrateur de La déesse d'Adlerburg
À sa sortie de l'atelier BD de Saint-Luc, André Taymans adapte avec J.C. de la Royère L'homme aux Orchidées aux éditions Lefrancq. Entre de nombreux voyages (Sud-Est asiatique, Cordillière des Andes, Amazonie, Amérique du Nord), il reprend des mains de Griffo la série "Munro" qu'il anime le temps d'un album avec J.F. Di Giorgio, aux éditions Dupuis. Toujours sur un scénario de Di Giorgio, il dessine pour les éditions Alpen "Les aventures de Sam Griffith". Avec Gabrielle Borile et Chantal Heuvel, il suit les traces d'"Alex Nora" aux éditions Le Lombard. C'est en 1992 qu'il se lance avec la complicité de Rudi Miel dans "Les aventures de Charlotte" aux éditions Casterman. Le secret des Cornacs est le premier titre de la série sorti en 1993. Il a été prépublié dans le quotidien Le Soir d'avril à mai 1993. En janvier 1994 est publié le deuxième titre Le rocher aux hirondelles, suivi en juin par La perle noire. En 1996 paraît Les cornes de feu. En 1995, Taymans publie, avec la complicité de Di Giorgio, le premier album d'une nouvelle série "Bouchon, le petit cochon" Bouchon et le petit rat Missou, suivi la même année de Sans abri. En 1996 est publié le premier titre des "Aventures de Caroline Baldwin", qui continue à résoudre les énigmes les plus difficiles. Il est également l'auteur de "Mac Namara" paru chez Casterman et le dessinateur des "Filles d'Aphrodite" chez Glénat. (Source : Casterman)


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Le Carnet et les Instants

En novembre 1942, à Bruxelles, l’Oberssturmführer Otto Bretzzel, de la SS, piaffe d’impatience à l’idée d’aller en découdre en Russie, de s’ouvrir la route du Caucase et des puits de pétrole. Mais le voilà convoqué dans la demeure d’un riche banquier juif, confronté à sa collection d’œuvres d’art et à l’irruption d’Herman Göring himself, qui lui confie une mission vitale pour la victoire du IIIe Reich : acheminer en Allemagne la perle du lot, une extraordinaire statue d’or de la déesse de la nécessité Ananké, flanquée de ses filles, les Moires, en charge du fil de la vie.  Et d’une suite de signes cabalistiques, des allures de carte au trésor… Mais, lors du trajet, le convoi mené par Bretzzel, pris en chasse par l’aviation…


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