La colère du rhinocéros | Objectif plumes

La colère du rhinocéros

RÉSUMÉ

Après avoir traversé l’Europe en corbillard avec un macchabée dans le coffre, Gibraltar percute un rhinocéros et entre dans Trois-Plaines. « La Colère du rhinocéros » est un roman polyphonique, riche en surprise, porté par une écriture savoureuse, un western poétique et drôle explorant les méandres de vies tombées en morceaux, un questionnement sur le sens de l’existence édifié autour du rêve en ruine d’un vieux fou absent: le père de Gibraltar.

PRIX
  •   Prix de la première œuvre de la Fédération Wallonie-Bruxelles, 2011
  •   Prix de la première œuvre 2011 de la Communauté française
À PROPOS DE L'AUTEUR
Christophe Ghislain

Auteur de La colère du rhinocéros

Ecrivain et réalisateur, Christophe Ghislain s'est d'abord fait remarquer en 2005 en obtenant le prix du meilleur premier film au Festival international du film indépendant de Bruxelles pour son Lost in La Hesbaye. En 2010, il sort son premier ouvrage La Colère du rhinocéros aux éditions Belfond.
 


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "La colère du rhinocéros"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9955 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Mes hamsters

Extrait - site web éditions de l'Arbre à paroles " Mes hamsters , reçu par la Poste…

Ange Vincent

Le narrateur s'appelle Ange Vincent. On ne sait trop s'il est écrivain ou boxeur,…

Victor Hugo : Les années d'exil et d'écriture à Bruxelles (L'Article n°4)

Collection "L'Article", n°4 Éditorial de Maxime Lamiroy : La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert notre tête et notre pays.La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert…