Auteur de La Chanson d’Ève
Difficile de revenir en quelques lignes seulement sur cette œuvre maîtresse de la littérature symboliste. D’emblée, évacuons rapidement la question de la mise en page du livre et la facture plutôt grossière de cette réédition où ni la typographie, ni le choix du papier ni même la brochure ne résisteront très longtemps aux ravages du temps. Sans doute ce petit bijou de la poésie belge aurait-il mérité plus bel écrin. Soit ! Heureusement, le texte demeure lui bien présent depuis sa première publication au Mercure de France en 1904.Plus intéressante, malgré les coquilles, est la préface que nous propose Marie Dossin à qui l’on doit notamment une édition des lettres de Mockel à Fontainas entre 1896 et 1914. Elle parvient, en quelques pages,…
Le temps nous entraîne. Nous n'avons aucun recours. Pourtant, il nous offre l'avantage…
Préface de Philippe Jones À propos du livre Mélot du Dy, né à Bruxelles en 1891, mort à Rixensart en 1956,…